Naruto Shin Jidai
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 Traversé Pour Kiri

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Pham Vãn Luong
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Pham Vãn Luong


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MessageSujet: Traversé Pour Kiri   Traversé Pour Kiri Icon_minitimeSam 25 Juil - 20:37

"_Voici le dossier que vous m'avez demandé, Luong-sama, fit un ninja de KumoGakure, toute les informations connus sur ce garçon y sont regroupée !
_Merci je sais ce qu'est un dossier, soupira-t-il, ne me prend pas pour un imbécile car tu en connais la sentence.
_Non c'est pas ce que...
_Silence ! Vas-t-en tu m'supportes !"

Un Dialogue comme il en a tout les jours. Qu'il s'ennuyait à râler envers des incompétents ! Il avait envie de sortir un peu de Kumo, aller sur le Terrain ! C'est pour cela qu'il avait fait emmener ce dossier. Il avait été classé depuis bien longtemps car l'homme qu'il allait rechercher était recherché pour meurtre et trahison. Luong passa la main dans ses cheveux avant de se lever et posa le dossier sur la table la plus proche de lui. Le Shinobi prit un manteau et s'en alla, le dossier sous le coude. N'ayant pas encore ouvert le dossier, il savait qu'il allait avoir tout le trajet pour vérifier chaque détail donc il ne s'en fit pas. Le bras-droit sortit par la fenêtre de la pièce et alla presque jusqu'à s'envoler. En effet, le bureau où il était, était situé haut en hauteur donc c'est comme s'il faisait une chute de vingts étages. Bien entendu, il n'était pas fou et arrivé à la moitié du chemin, ses mains gantées s'agrippèrent à une corde où était accroché plusieurs lampions. Il glissa pour ralentir sa chute et fini par lâcher prise pour continuer sur les toits. Sortir par les moyens normaux ne lui plaisait pas. On rencontrait beaucoup trop de monde et puis l'adrénaline montait plus vite à sa manière. Une fois arrivé à la porte du village, il descendit des toits et courut jusqu'au plus proche port. Il devait emprunter un bateau en direction de Kiri. L'homme s'était réfugié dans une des nombreuses îles du pays afin éviter toute poursuite. La route ne fut pas longue et une fois arrivé, il alla chercher un ticket. D'ailleurs, il dut attendre une bonne heure avant de pouvoir se présenter devant une vieille mégère. Elle avait une verrue sur le nez, on aurait dit que la Nature lui en avait donné un second. C'était horrible à voir donc il se focalisa sur ses mains. Il demanda donc un billet pour le pays de l'eau et une fois celui-ci en main se dépêcha d'aller vers le quai. Il ne voulait plus penser à cette femme tellement est pouvait créer un court circuit dans sa tête. Pendant l'attente, il vit des tas de gens différent. Cela allait du paumé voulant aller dans le bateau clandestinement à la famille bourgeoise dont les manières devenait insolente. A les regarder, chaque personne avait une raison différente de prendre ce cargo. Certains voulait fuir le pays, d'autre avait simplement gagné un voyage ou bien les derniers avait simplement perdu leur famille dans un incendie et n'avait donc plus d'endroit où aller.

Mais il arriva enfin, et après un quart-d'heure pour se ranger correctement, les gens commencèrent à descendre d'un côté pendant que de l'autre un homme arrivait. Il était habillé de bleu et blanc tel un marin fier de son bâtiment. Les boutons d'ors luisait dans le soleil. Il pris la parole dans le micro de la demoiselle qui normalement devait annoncer l'embarquement :
"Porte N°4 : Embarquement sur le Métropolitain, en direction de Kirigakure no Sato. Veuillez vous munir de vos papiers de transport, je répète, Porte N°4 : Embarquement sur le Métropolitain, en direction de Kirigakure no Sato. Veuillez sortir vos billet de transport"
Sa voix montrait véritablement que le Capitaine était heureux et content d'accueillir de nouveau passager. Il repartit alors, surement dans sa cabine afin de soupirer. Sourire en public afin de donner confiance aux gens étaient si pénible pour lui. Luong quant à lui fit exactement ce qui était demandé, il sortit les papiers et passa tranquillement sur le pont. Le transport était blanc comme la neige donc quasiment invisible de loin. Sa coque reflétait la couleur de l'eau comme un effet de miroir. Le bateau ne faisait qu'un avec son élément. Sur la passerelle, les gens commençaient à s'énerver qu'avait-il donc à pousser comme ça ? Nous n'étions pas aux pièces ! Luong s'énervait de voir tant d'idiotie et se mit donc à avancer un peu plus rapidement n'hésitant pas à pousser ceux qui le gênait. Une fois arrivé sur le "sol", les gens étaient encore plus nombreux ! Il soupira et bouscula alors un peu plus de monde. Des vieux, des adultes et même des enfants étaient bousculés. Il savait que si il restait plus longtemps dans cette foule, son cerveau allait être bon pour un reboot. Dans son pays d'origine, il n'y avait pas autant de monde que ça : les gens restaient dans leur rizière, travaillant pour leur propre compte sans jamais se bousculer. Il se souvenait qu'une fois il était passé par un chemin emprunté par une autre famille, il avait été obligé de se cacher derrière un arbre afin de ne pas attirer l'attention. C'était donc très rare que les gens se bousculaient ainsi.

C'est alors qu'il fit une bousculade parmi tant d'autre. Cependant, cette personne avait quelque chose d'intrigant. Il était vêtu d'une espèce de pancho noir qui masquait tout son corps. Les deux épaules se frappèrent et quand il se retourna, il croisa son regard. Les yeux rouges du garçon n'était pas habituel, les gens du communs ayant pour couleur d'iris rouge étaient un fait rarissime. Le garçon avait quelque chose d'exceptionnel mais ne savait pas encore quoi. Dans la précipitation, il ne put voir plus. Et puis, il s'en moquait un peu. Une personne comme celle-ci allait rester un temps dans sa tête et tel un fichier temporaire, disparaitrait. Luong continua alors son chemin et finit par trouver un coin tranquille, sans trop de monde au niveau des bords. Un quart d'heure plus tard, le Capitaine annonça le départ. C'était enfin partit... Les gens se mirent à sourirent, à faire toute sorte d'activité comme chanter, danser, hurler même ! Cela ennuya rapidement Luong qui se tourna pour admirer la mer et surtout le port qui s'éloignait. Il en avait pour un bon bout de temps à être ici. De toute façon, il avait le dossier en main et pouvait à tout moment se mettre à la consulter afin de ne pas s'ennuyer. A peine une heure plus tard, l'ennui s'installa. Les gens avaient mal à la gorge et étaient épuisé à fort de danser comme des ivrognes. Luong ouvrit le dossier bleu et le lus. Le nom de l'homme était Inazuma Sagi. Son atout était les éclairs. Il était très fort pour les manipuler donc comme ninja de Kumo, il était parfait. D'ailleurs, il y était inscrit que son caractère lui faisait faire des choses plutôt intéressante. Il avait déjà tué plusieurs ninjas ennemis lors d'une mission qui consistait à les ramener en tant que prisonnier. Son insubordination lui avait fallut quinze jours de quarantaine. Ce devait être à ce moment là que son envie de trahison, de vengeance avait germé. Il allait devoir lui parler sans se faire tuer. Luong n'avait pas envie de combattre un renégat. Son but était de lui redonner envie de venir à Kumo... Une tache bien difficile vu la réputation du village. Quand Luong avait appris l'histoire des Shinobi, il se rappelait qu'Oto avait été le village le plus mauvais de tous. Kiri avait également été un village démoniaque même si cela avait bien changé depuis des centaines d'années. Même si certains acte n'était pas saint, Kiri restait quand même un village normal. Kumo aussi d'ailleurs. Les pensées divergeaient celons les villages car personne n'était au courant des manipulations faites par le village. Ainsi, Kiri devenait la cible à abattre et cela lui plaisait. Quand une nation peux en utiliser une autre afin que ses buts soit accomplis, cela devenait interessant. Le village était plutôt pacifique au yeux des autres, il en sourit. Pour l'instant, cela suffisait. Il ferma le dossier et laissa choir son bras quand il se retourna. Il allait examiner la situation, regarder si quelque chose clochait. Oui, il y avait toujours quelque chose d'étrange avec Luong. Quand un homme d'affaire se mettait à faire le soul sans avoir but une seule goutte d'alcool, il fallait se méfier. Les filles n'étaient pas épargné par son scanner. Deux femmes fines aux jambes rebondit et carré avait obligatoirement une arme sous leur jupe. La vitesse de réflexion qu'avait Luong lui permettait de tomber sur des tas de possibilité, il ne lui restait plus ensuite qu'à prendre la plus probable. Il y avait plus de chance qu'un homme masqué soit en mission secrète plutôt qu'être un infirme à jambe de bois.

La mer était calme, le vent ne soufflait que très légèrement et le ciel était bleu comme jamais. Tout était parfaitement calme, excepté évidemment la population devant lui. D'ailleurs, tout était calme... beaucoup trop calme... "je n'aime pas trop beaucoup ça"
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Keitaro Sumeragi
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MessageSujet: Re: Traversé Pour Kiri   Traversé Pour Kiri Icon_minitimeSam 25 Juil - 23:14

C'était une magnifique journée, le soleil venait à peine e se lever, il brillait de mille feux, éclairant les Shinobi qui partaient en mission, qui se rendaient chez l'Hokage-sama pour s'en faire confier une, ainsi que leur femmes qui se hâtaient aux tâches ménagères, qui allaient faire des courses. Mais cette journée était surtout superbe car c'était son premier jour en tant que Jûnin. Il se sentait très satisfait, et s'étonnait lui-même. Il ouvrit la fenêtre, et observait la falaises qui présentait les visages des Hokage fait de pierre. Il fut interrompu par un faucon qui se dirigeait vers sa demeure. L'animal poussa un cri digne d'un rapace, et vint se poser sur l'avant-bras de Keitaro. Autour de son cou, un collier muni d'une lettre. Il prit le parchemin et poussa l'animal a s'envoler. Il observait l'animal décoller avec grâce et ouvrit le message. C'était une mission, plutôt risquée, car elle consistait a s'infiltrer dans les ports de Kirigakure. Elle ne lui plaisait pas particulièrement, mais il n'allait certainement pas contester, et l'accepter avec plaisir. C'était symbolique, sa première mission en tant Jûnin.

Il était très nostalgique. Cette mission se déroulerait très tranquillement, il avait cinq jours pour atteindre Kiri, et cinq autres jours pour se balader entre les ports. Il lui était fortement déconseillé de se balader dans la ville de Kiri, cela comportait de gros risques. De plus, en cas de fouille ou autre, il sera probablement démasqué, car il devait quand même s'armer, et garder son bandeau hors de son front, mais dans le fond de sa poche. Une formalité qui était risquée, mais qu'il approuvait, le bandeau de Konoha était important pour lui, c'était un porte-bonheur. Il souriait gaiement et se retourna pour manger un morceau. Une fois son déjeuné terminé, il se vêtut de son habit d'entrainement noir, et enfila la classique veste verte. Il fit l’inventaire de son equipement ; des kunai, des shuriken, un katana de taille moyenne, et des parchement explosif ainsi que de la ficelle. Enfin, il quitta sa demeure pour se diriger vers les portes de Konoha. Enfin, il poussa un soupir de satisfaction et entâma la route vers Kiri. Trois jour plus tard, il avait quasiment atteint Kirigakure, il avait longuement voyagé en bateau, et avait fini par hair la mer. Il voyageait clandestinement a bord de ces bateaux discret, qui se noyaient dans la triste ambiance de ce pays. Ce n’est qu’a mi-chemin, qu’il se rendit compte que s’il échouait la mission et se faisait repérer, son nom aurait été trainé dans la boue d’ou son échec, mais il n’aurait pas le temps d’entendre les ragots des gens comme quoi il était incapable d’être Jûnin, car dans le cas ou il était démasqué, il n’en sortirait probablement pas vivant. De quoi s’inquiétait-il ? Il allait réussir, il devait réussir. Il atteint Kiri, enfin, mais avant de visiter le port principal du pays, il fit juste un arrêt et reprit immédiatement le bateau. Nombreux sont ceux qui venaient quitter le pays, d’ailleurs certains avaient des tête pas très plaisante.

Finalement il acheta son ticket et remonta sur le bateau. La file était longue, il avait attendu un moment. Vu sa petite carrure, beaucoup de gens le prenait pour un jeune adolescent orphelin. De plus, il s’était vêtu d’habits sale, légèrement coupé, et froissé. Il passait pour les autres pour un pauvre garçon, a l’air triste. Le fait qu’il se faisait le plus discret possible et ne parlait a personne amplifiait la chose. Enfin, il se mit derrière le troupeau de personne qui attendait pour monter sur ce bateau. Des gens se bousculaient, et même une jeune femme chuta du ponton pour aller chuter dans l’eau fraiche. Beaucoup riaient de sa chute, mais Keitaro lui ne trouvait pas cela marrant. Il se pencha vers l’eau et tendit sa main. La jeune femme, glacée et désespérée, s’accrochait au plus fort a Keitaro, et ce dernier l’a fit remonter sur le pont. Il lui passa sa veste délabrée pour pas qu’elle n’aie froid. Elle le remercia chaleureusement et disparu dans la foule, elle avait quitté le pont et ne voulait plus monter sur ce fichu bateau. Sur un tonneau, un grand manteau noir même pas sale se présentait a lui. Il observait autour de lui et prit finalement le manteau pour l’enfiler. L’habit, était équipé d’une capuche, Keitaro la dressa sur sa tête.

Il sentit du mouvement derrière lui, et entendait les gens geindre. Il tourna la tête mais avant d’avoir pu finir son mouvement, quelqu’un heurta son épaule. Il croisait le regard de l’homme, et celui-ci observait ses yeux vifs. C’était commun, des gens qui s’intriguaient des pupilles de Keitaro. L’homme avait quelque chose de spécial, est-ce-que c’était un shinobi ? Il n’en saurait rien, ce dernier ne lui avouerait pas et Keitaro n’avait pas a le savoir. De longues minutes plus tard, le bateau se dirigeait vers les îles de Kiri. La plupart des gens festoyaient, saouls, l’ambiance n’étant pas désagréable, les gens dansaient et riaient, cela fit sourire légèrement Keitaro. Il se sortit de cette foule pour diriger dans un endroit tranquille, ou il pourrait s’asseoir et gribouiller quelque chose, paisiblement. Il s’assit a terre, contre une parois en bois, plusieurs tonneaux se dressaient a coté de lui. Son crayon en main et quelque parchemin, il dessinait un paysage ensoleillé, pour lui rappeler son beau pays. Il leva la tête et entraperçu un homme qui admirait les flots. Il degageait une ambiance sereine, et ne faisait aucun bruits, on ne pouvait même pas l’entendre respirer. Keitaro eu un « tilt », et se rappela que c’était ce même homme qui l’avait bousculé, et qui avait observé ses yeux. Keitaro l’observait attentivement, et ne pu voir d’ou il était aucun attirail shinobi. Il fut interrompu dans son « enquête visuelle » par un grand homme chauve, qui était armé, et surtout, saoul. Il leva violemment Keitaro par le bras et se mis a le menacer. Keitaro n’était pas effrayé, mais il ne devait pas neutraliser cet homme, au risque d’être démasqué. Il ne savait que faire, et l’homme augmentait son adrenaline. Si la situation s’éternisait, Keitaro devrait s’éloigner, ou bien se battre. Son cerveau lui ordonnait de s’eloigner de cette épaisse brute pour éviter les problème, mais son grand courage l’empêchait de partir. Pour une fois, ceci lui était défavorable. Keitaro, dans une impasse, vit l’homme degainer son arme. Celui-ci avait l’intention de s’en prendre a Keitaro pour de bon. Attendant le coup, Keitaro avait discrètement la main posée sur la garde de son katana.

Les gens admiraient la scène avec stupéfaction, certains s’amusaient de la situation, d’autres restaient bouche bés. L’homme hurla quelque chose que Keitaro ne put comprendre, car il était saoul. Après ça, il mis un coup de katana dans sa direction, et Keitaro profita du mouvement pour le faire basculer par-dessus bord. A prioris, dans le mouvement, personne n’avait du remarqué que c’était Keitaro qui l’avait basculé, il avait agis discrètement en laissant l’impression que l’homme avait chuté seul. Quelques personnes se précipitèrent vers le bord du bateau pour observer l’homme qui était parti s’ecraser en pleine mer. Précedemment, il avait vu son carnet de dessin voler dans une direction, mais ne savais ou. Il scrutait le sol a la recherche de ses œuvres, et vit l’homme qui avait précedemment attiré sa curiosité debout, son carnet en main.

- Ex… excusez-moi… pouvez-vous me rendre ceci ?
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Pham Vãn Luong
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MessageSujet: Re: Traversé Pour Kiri   Traversé Pour Kiri Icon_minitimeMar 28 Juil - 22:28

La mer était calme, le vent ne soufflait que très légèrement et le ciel était bleu comme jamais. Tout était parfaitement calme, excepté évidemment la population devant lui. D'ailleurs, tout était calme, beaucoup trop calme à son goût. Parmi toute cette foule, il fallu soudain qu'un homme vienne s'assoir à côté de lui. Personne n'allait donc le laisser tranquille. Il désirait faire une traversée sans le moindre problème. Avec l'arrivée de ce simplet, il sentait déjà une masse arrivé. Il continuait de regarder cette foule, le beau paysage derrière lui, et se dit que la plupart n'aurait jamais dû être là. Cette idée se dissipa rapidement car il ne put s'empêcher de baisser la tête sur le jeune capuchonné. La nature humaine était ainsi, quand quelque chose nous entourent nous ne pouvons nous empêcher de l'examiner. C'est une curiosité innée qui parfois peux être augmenter par un caractère particulier. Luong n'était pas du tout curieux. Les gens le laissaient tranquilles et il ferait la même chose. Cependant même avec un ordinateur à la place du cerveau, l'humain était encore là et Luong se mit à l'examiner. Sa première impression fut la bonne, c'était bien un garçon peu intelligent. Quand une personne se met à dessiner sur un carnet, c'est qu'il n'a vraiment rien d'autre à penser. Son nez était la seul partis de son visage à dépasser et il ne put l'observer en détail. Et il ne le voulait pas ! En quoi un mendiant aurait-il besoin d'un examen particulier ? Non, il devait relever la tête et s'endormir jusqu'au port. Un bruit infernal vint l'en empêcher.

Une espèce de jeune garçon particulièrement remplis d'alcool se dirigeait en sa direction. Alors qu'il s'approchait, il remarqua que son regard s'était abaissé, le pauvre petit enfant se fit soulever. Il dû arrêter de dessiner. Luong tourna la tête ne désirant pas se mêler de ce qui ne le regardait pas. Il allait devoir s'en sortir tout seul. Ce qu'il avait put repérer sur ce bourrin était sa calvitie impressionnante. Quand on voyait le reste du corps, il était certain qu'il était passé sous le trou de la couche d'ozone. Une longue barbe bien garni par son repas était accompagné de bras velu et d'un torse donc les poils ressortaient de la chemise. Luong s'était tourné également pour ça. SI il devait le toucher, son corps aurait été imprégné de cette odeur malsaine tout comme sa grasse. Luong tenait à rester propre en toute circonstance. Son oreille reçu la voix horrible du bourré et il put légèrement comprendre ce qu'il disait. Après un déchiffrage avancé, son cerveau lui transmit en langage "normal" sa phrase : "Hééé toi, le minus... Qu'est t'as à me regarder comme çaaa ?" Il était véritablement bien fait cet homme-ci. Même l'odeur de sa bouche arrivait jusqu'au narine de Luong, il fallait le faire ! Notre ninja se tourna pour être face à la mer, la tête légèrement tournée pour observer la scène. C'est alors que le barbu sortit une arme, enfin si on pouvait parler d'arme. Ce n'était simplement qu'un couteau de poche et dans un petit clipse, il le plaqua sous la gorge du garçon grommelant une phrase cette voici-ci impossible à déchiffrer. Il devait surement parler de meurtre, mais bien sur on ne pouvait tuer quelqu'un avec ce minable couteau.Il fallait au minimum un Kunai pour tuer quelqu'un. Vraiment, l'esprit de Luong soupira. Physique il souriait à la vue de ce spectacle. Les microbes de la terre pouvaient faire plus de mal que l'espèce dominante. L'avantage d'être petit est qu'on a plus de chance de survivre. Cela fut vérifier lors du temps des dinosaures. Restant petit les mammifères avaient put échapper à la destruction du monde. Les colosses de cette époques avaient quant à eux, continuer de grossir, d'évoluer afin d'arriver au Tyrannosaure Rex. Celui-ci c'était alors éteint dans les feuilles mortes, dans un grand éclair de lumière.

L'homme ne voyant aucune réaction du capuchonné s'énerva et replia son bras pour lui assigner un coup verticale. Luong ne savait pas pourquoi l'attaque fut de ce sens, cependant il savait qu'en demander trop à un homme ivre n'était pas bon. Le petit esquiva très bien le coup et par principe d'inertie, le corps continua sa course vers le sol. Grâce à une légère poussé, il se cogna contre les barils et le dos toucha la rambarde. Un petit geste de la main et il tomba dans l'eau. La hauteur était très haute, il dû donc se faire très mal. Dans l'action, Luong vit arriver un carnet, celui sur lequel on avait dessiné. Son dossier en-dessus, il se mit à le regarder laissant l'homme passer par dessus bords. Sur ce bloc-note s'y trouvait des paysages, des personnes et même animaux. Rien de tout cela n'était interessant. Il put voir le dernier dessin. C'était une représentation grotesque d'un village autour d'une forêt. Il ne fallait pas longtemps au PC de Kumo pour repérer Konoha. C'était le seul village assez grand pour être entouré de forêt. Tout ceci n'était que approximatif bien sur. Les traits étaient mals fait et le détail du paysage était médiocre. Konoha, c'était un village ennemi, le village caché de la feuille dans le pays du feu. Ce garçon provenait de Konoha ! Il en était certain à présent que le "quelque chose" d'exceptionnel provenait de sa nature. Un Shinobi était différent des autres. Ce garçon étant son ennemi, il allait le traiter comme il se devait sans révéler son identité. Une voix l'interrompis et il ferma tout les parchemins pour regarder la provenance de ce son. C'était le petit garçon de Konoha qui lui dit quelques mots. Il était vraiment hésitant et il était vraiment étrange de pouvoir former quelqu'un comme lui.

"_Ex… excusez-moi… pouvez-vous me rendre ceci ?
_Ce carnet de dessin ? Interrogea Luong, C'est de la merde..."

Il jeta alors le carnet dans l'eau prétextant une maladresse. Il le fit tout en souriant, il voulait voir la réaction d'un ninja de Konoha.
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MessageSujet: Re: Traversé Pour Kiri   Traversé Pour Kiri Icon_minitimeMer 29 Juil - 19:48

La foule s’était précipitée contre le rebord du bateau, et observait l’homme en train de se débattre dans les vagues. Keitaro avait envie d’aller l’aider, il s’était attaqué a lui parcequ’il était saoul après tout, il n’aurait peut-être pas fait ça de son vivant ! Il observait l’homme qui s’enfonçait dans les flots, avec un pincement au cœur. Mais Keitaro n’avait pas le temps pour les regrets, il devait accomplir sa tâche, et rien d’autre. Son carnet de dessin avait atterrit près de cet homme. L’homme observa le dessin inachevé qui figurait en première page, et lança a Keitaro :


«Ce carnet de dessin ? C'est de la merde..."


Après ces paroles désobligeantes, l’homme balança vulgairement les dessins de Keitaro dans l’eau. Keitaro, restait neutre en voyant son carnet disparaître derrière la rembarde du bateau. Il s’approcha de la barrière et vit dans l’eau son carnet qui s’effritait et se perdait dans les flots. Le peu d’expression qu’affichait Keitaro, il les prévoyait a l’avance. Il s’imaginait dans des situation ou il devrait réagir, comme quand quelqu’un le complimentait, le félicitait, il savait qu’il fallait remercier et sourire. Il avait enregistré tellement de sentiments dans sa tête, qu’il savait quand et comment les reproduire, certains étaient même naturels. Mais jamais, vraiment, jamais il n’avait imaginé faire face a cette situation : la seule chose qui lui faisait ressentir quelque chose, la seule chose qui pour lui exprimait des choses, venait de disparaître. Il ne savait pas pourquoi, mais Keitaro ne ressentait toujours rien, pourtant, c’était précieux. Le regard vide, le visage neutre, il se tourna vers l’homme qui avait gaché ses oeuvres.


*- Vous avez une façon très personnelle de rendre les choses. J’appréciait ce carnet, et vous l’avez détruit. Avez-vous une bonne raison? »


Il regardait l’homme, attendant patiemment une réponse. Pour Keitaro, cet homme était du genre a être sur de lui et a faire beaucoup de bruit pour pas grand chose, il l’avait démontré avec l’acte précédent. Keitaro, fixant l’homme dans les yeux, s’attendait de ce grossier personnage une insulte, voire un acte de violence. Parfois Keitaro préférait se battre, pourtant il était très calme et avait horreur de la violence inutile, plutôt que devoir rester vide de sentiments devant des situations ou il devait exposer ses sentiments, de colère, de tristesse, de gaieté, c’était bien trop difficile pour lui, il préférait se battre face aux ennemis, plutôt que de parler et d’afficher des expressions. Mais jamais il n’avait fait ça, car c’était contraire a ses principes, et de ce qu’il pensait de la violence inutile. Dans le cadre de ses missions ou il devait affronter des ennemis, cela ne le gênait pas, mais dans des cas ou c’était quelqu’un qui cherchait a l’affronter, hors de ses missions, il trouvait un moyen de s’extirper de ce genre de situation, cette situation présente, qui pourrait très vite dégénerer. Keitaro , en même temps que de regarder l’homme de ses yeux rouge, se demandait si il n’était vraiment pas peiné car il avait perdu son carnet. Si il était si il était si indifférent, pourquoi aurait-il interrogé l’homme de cette façon ? Peut-être juste pour ne pas se laisser faire. Mais il ne fallait pas se comporter ainsi, il fallait se taire et rester discret.

Keitaro avait détourné le regard pour observer la foule qui quittait le bord du bateau. L’ambiance conviviale avait repris, les gens s’étaient remis a boire et a danser, à festoyer normalement. Il les enviait, Keitaro, a ce moment précis, mettait en péril sa mission.
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