Une fille poudrée de givre :3

"Yugiruto, ncr, je valide que cela m'appartiens..."

Présentation Kage( plus de place alors ninja d'élite si possible :3)

{ Pour éviter toute confusion, accusation de plagiat, il a y cette prez sur Koji Shinobi, enfin que le début car je l'ai laissée tombé en route ^^ et sur KNK :3}

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" Lorsque la bise rencontre la pluie: Parfum de poudre et de givre..."

Nom: Koori

Prénom: Kirara

Âge: 29 ans

Village: KIRI <3

Description Physique:

Kirara est une jeune femme dotée d'une beauté à part. La première chose qui sautait au yeux était son visage pur au traits fins, couvert d' une peau qui éblouit au premier regard , si claire, presque givrée,d'un blanc miraculeux, d'un blanc brisant les banalités du rose ou du beige , un blanc fragile et insoutenable, un blanc qui était plus qu'une couleur , une consistance, douce, souple, poudrée et dorée. L'éclat de sa peau semblait presque irréel. Elle n'est pas translucide, comme certaines femmes que l'on confond avec des cachets d'aspirine. Ses cheveux souples et soyeux sont d'un blanc immaculé, tantôt nuancés de reflets violés ou bleutés par endroit. Ceux ci sont souvent agrémentés d'un diadème céruléen qui rehausse leur beauté et les discipline dans certains cas.

Les yeux de la jeune fille possédaient un ton des plus attractifs, ils avaient l'air d'avoir inventés la couleur, toutes les nuances de rouges s'y trouvaient. Du rouge vif au rouge couleur sanguine, rouge carmin, rouge cendré, vermeille.. On ne pouvait que s'émerveiller en les contemplant. Le pourtour de ceux ci étaient orné de cils naturellement long et bien dessinés, disposés de la plus belle des façon, agrandissant ses prunelles rougeoyantes.

Ses lèvres vermeilles, fines et ciselées et pourtant ornementées d'une rondeur pulpeuse donnaient l'espoir de recevoir un baiser. Au dessus de celles ci s'ajustait un nez fin et d'une parfaite droiture tantôt percé par des narines palpitantes aux proportions idéales, ni trop grandes, ni trop rondes et surélevées, au contraire abaissées et discrètes.

Ses épaules légèrement rondes mais qui n'en demeuraient pas moins bien dessinés comme tous ce qui les précédaient, étaient le plus souvent vêtues d'une longue cape incurvée par endroit, rattachée par un col lilial aux lignes bleutées, dissimulant sa fine et gracile silhouette. Kirara porte sous cet attirail une simple robe de soie azur, quelques sangles étaient disposées sur celle ci, imposant leur étreinte sur la jeune femme au niveau de son buste. Ses attaches causaient de légers plies, un démarquage entre le haut et le bas du corps.

Kirara est objectivement svelte, d'une corpulence moyenne et pourtant gracile. La jeune femme possède également de longues jambes sortant de son oripeau pour se fourrer dans deux bottines noires aux réverbérations violacés.

Description Morale:

D'emblée, on perçoit Kirara comme une femme calme, tranquille, douce, timide et posée.
Mais une tendance impulsive trouble cette stabilité, au premier abord elle semble impassible, douce, inaccessible. Un manteau de placidité couvre en quelque sorte un tempérament fougueux, irréfléchi, loin de l’aspect pondéré que la jeune femme appose en permanence. La demoiselle avait été initiée à l’art de clapir ses émotions, à contrôler ses perceptions et ne pas abdiquer le pouvoir de la perception au dépit de la raison, dès son enfance Kirara s’est accommodé à adhérer à ceux professant un masque de glace, flegmatique, impavide, l’idée même de lire en eux possédait l’art d’être inaccessible, Kirara était de ceux là.
L’allure, l’apparence, l’attitude, tout avait été moulé spécifiquement pour que rien ne transparaisse, des années d’instructions pour en arriver la, La jeune femme brodait avec aisance ses mots, ses gestes, même son physique amplifiait le thème de la frigidité ubiquiste . Kirara avait appris à concorder avec l’extérieur que ses aînés souhaitaient qu’elle ait, l’empreinte du désir des autres, voila ce que démontrait sa frimousse placide et ses airs hautain et flegmatiques.

Bien que la mine qu’elle se donne n’attire pas la sympathie tout de suite, Kirara est une gentille fille au fond, malheureusement elle ne dévoile que très rarement ses émotions, ses troubles, ses amours, toutes ses sensations sont voilées, simultanément, conjointement, toutes sont masquées derrière un mur, invisibles. Il arrive certes que certaines réussissent à transparaître, découverte, Kirara ne peut s’empêcher d’être mal à l’aise, faisandée par le fait qu’on puisse lire en elle, si tôt que possible, ces sensations sont comme ré ingurgitées son silence se présente alors. Pile au bond moment comme à son habitude, soit un mutisme presque constant. Bien évidement la jeune femme était loin du modèle misanthrope, insociable et ignare. Kirara n’affectionnait pas particulièrement la compagnie, mais elle ne blairait pas la solitude trop ténébreuse à son goût, disons qu’il lui fallait un juste milieu, quand à sa culture, la demoiselle était loin de l’analphabète ou de l’arriéré, elle avait été éduqué autour d’une certaine étiquette, salutations, présentations, manières tous résonnaient avec aisance et culturellement elle n’avait rien à envier à qui que ce soit.
La jeune fille éprouve quelques difficultés en présence de la gente masculine, elle maintient son air impassible en toutes circonstances, même en présence d'un bel homme, par contre si celui-ci s'aventure trop près d'elle, quelques embarras pourraient survenir. Comme toute les femmes Kirara est complexe , bien qu'elle dispose d'un grand sang froid, elle ne peut pas mettre la bride aux effets d'un beau garçon. Mais pour cela le caractère doit y être autant que le physique.

L'éclosion d'un perce neige; une gerbe grelottante

Cela eu lieu une nuit de Lune rousse, une apparence peut commune, pour un jour peut commun. L'astre vermeil, isolé derrière les volutes frigides de la nébulosité, avait l'air de s'en foutre. Celui-ci stagnait dans l'immensité des zéphyrs compacts, denses, presque pondéreux, des grumeaux de neige toupillaient gracieusement. Tombant au sol. S'ajoutant à l'épais paletot de neige tapie sous l'astre rougeoyant. Il faisait la sieste sous le satellite éclairant de la nuit. Un air épais et froid, comme infecté par les astres, retient quiconque de bouger. Même les ombres, au sol, s'éteignaient, disparaissaient.

Des murmures, des sanglots incessants rythmaient les effluves hivernales, berçaient la pluie de flocons fins et feutrés, Suivre, ses lamentations. Traverser une demeure qui incarnait parfaitement le luxe et la noblesse extravagante. Franchir le vestibule rond à colonnes. Grimper les marches en marbre une à une. Eviter les rideaux, qui s'élevaient ou descendaient en fumée sinueuses. Braver les statues immenses représentant les fondateurs du clan Koori. Suivre les gémissements à travers les couleurs qui portaient, reproduite à l'infini une odeur persistante, l'intarissable odeur d'ammoniac portée par la bise rentrant d'une large baie vitrée. Et là, l'arrivée, une pièce d'un blanc immaculé dont rien ne paraissait, seule la blancheur impalpable couverte par de jeunes pleures dont la provenance restait un mystère.
Après quelques secondes le contenu apparut, une chambre au quelques meubles blancs, au murs blancs, au sol carrelé blanc. Baignant dans cette lumière opalescente , les formes ne se détachaient pas, les angles disparaissaient, seule indication une déflagration constante,un soupir empoignant.

Suivre ces sanglots immuables, tâter le rideau sous lequel celui qui les poussent s'abritait, se dissimulait, trahis par ces jérémiades perpétuelles. Une voix enfantine résonnait dans la pièce. Soulever, enfin, le rideau opalin .
Une femme.. Une jeune femme poudrée de givre allongée au fond d'une sorte de boite glacée. Elle portait une simple robe, vraisemblablement de la soie, couleur outremer, agrémentée d'un simple collier en argent élégant. On pouvait entrevoir, sous les fins cristaux de glaces, un visage angélique pourvu d'une superbe régularité et de noblesse.

Sous cet iceberg imposant, l'objet de ces plaintes constantes se profilait enfin, recourbée, une fillette à l'air affligé, au visage ciselé par les pleurs, la tête dans le creux de ses deux bras croisés, plaqués sur ses genoux, susurrant un discours incompréhensible, inaudible. Des cheveux couperosés, des yeux d'un rouge matriciel, des lèvres pincés au sang; Kirara .

L’instruction réfléchie

Frimas dérobé, persistant dans un coin isolé.

Le déjeuner fut servi dans la grande salle, comme à son habitude. Une douzaine de jeunes filles, sorties d’on ne sait où, bavardaient autour de la table en chêne. Les voix fusaient, piquaient dans les aigus, se dérobaient dans les graves, s’égrenaient, se changeaient en rires perlés, se croisaient, se chevauchaient au dessus des plats. On aurait cru, qu’aucune d’elles n’écoutait ses congénères, aucune ne prêtait attention à sa voisine, toutes péroraient simultanément, conjointement, un véritable tintamarre, assourdissant et frustrant.

Une seule, parmi les douze jeunes femmes, n’intervenait à aucun moment, ne prêtant guère d’attention aux papotages intempestifs de ses sœurs. Après un temps d’accoutumance de plusieurs années, Kirara avait compris, les jeunes demoiselles qui la cernaient étaient « irrécupérables », elles haussaient le ton dans l’unique but de se faire remarquer par le maître de maison. Celui-ci, impassible, trônait au bout de la table rectangulaire, il ne daignait même pas porter un regard distrait envers les harpies qu’il avait engendrées. De temps à autre, il observait Kirara d’un œil furtif ; la seule fille calme et posé, la seule à ne pas le ruiner en vêtements et en produits divers, la seule qui ne voyait pas en lui une liasse d’espèces sonnantes et trébuchantes. La seule au caractère pondérée et aux manières dignes de son rang, contrairement aux autres bruyantes, aux discours mal convenus et aux manières déroutantes par leur coté « porcin ».

En tout elles étaient douze, douze jeunes femmes issues presque toutes de mères différentes, cela ce voyait à la singularité faciale de chacune, aucune d’elle n’avait des traits semblables à ceux des autres, certaines ne tenaient même pas la beauté de leurs mère, car il était bien connu que leur père n’épousait que de superbes femmes Dieu seul sait pourquoi ce dernier était veuf « en série », sans doute que lorsqu’on se marie en série on devient veuf en série, ses femmes mouraient l’une après l’autre de maladie ou d’accident inattendus, leurs tableaux ornaient les murs de la grande salle, chacune de ces beautés reproduites en traits fin sur la toile, seule la mère de Kirara avait eu une toute représentation. Un hommage ou une indignation, la cadette ne savait pas trop quoi en penser, d’ailleurs elle s’évitait le supplice d’y songer, elle n’avait connu sa mère que très peu durant les premières années de son existence, son visage lui revenait sans fin, elle l’admirait chaque jour, scrutant les moindres traits de son visage orné de noblesse, scindant sa singularité, cette beauté à part et prenant conscience de leur ressemblance extrême.

La fille était la mère et la mère la fille, peut être était ce pour cela que la jeune fille semblait choyée plus que ses sœurs ou était ce grâce à son manque d’intérêt matériel qu’elle attirait plus l’attention ? Quoi qu’il en soit, elle s’avérait être à part, rangée différemment, écartée du sac formé par ses congénères. Kirara, elle, ne passa pas des heures devant son miroir à se pomponner, le plus clair de son temps, la jeune femme le passait dans la lumière clinique verdissant le sol et les murs de la « chambre blanche ». En été, un système frigorifique était installé pour éviter la fonte des glaces composant l’espèce d’iceberg dans lequel cette superbe femme était conservée, raidis, frigide, et cependant, elle avait l’air de sourire, on aurait dit qu’un rictus fade flottait sur son visage, bravant le temps, bravant la glace la paralysant ; l’effigie de Kirara. Enfin c’était plutôt la jeune femme qui portait tout bonnement les traits de sa mère, voila en quoi résidait l’hommage du géniteur de Kirara, sa dernière épouse avait été réfrigérée, afin selon lui de toujours l’avoir au près d’eux, étais ce un hommage ? Ou simplement le déni de sa mort, l’incompréhension de son décès, le regret de ne plus la voir ? Une sorte de consolation, sûrement…

La jeune femme aux cheveux opalins n’aimait pas se torturer l’esprit, elle contemplait simplement le givre, le saluant le matin et le soir. Cet allé retour rythmait ses journées studieuses, littérature, géographie, histoire ; un pot de culture que la jeune fille devait engloutir quotidiennement, ses visites dans la chambre froide égayait ses journées ennuyeuses. Jusqu’au jour où on l’initia aux pratiques ninjas, le maître de maison tapota à sa porte, mettant fin au régime studieux avec un instructeur, les philanthropes ont d’ordinaire un empressement, une vivacité, un air gai et enjoué appelant à l’amusement, apprendre en se divertissant est leur devise, ils ont des rondeurs, une pupille naïve, pleine de vie, humide, une autorité enjoué qu’on ne trouvait pas chez celui-ci. Se sentant dévisagé il fixa Kirara à son tour, abrités sous d’épais sourcils de broussailles, enfumés, retranchés jusqu’au plus profond de ses deux orbites,pour guetter sans être vu, tel un aigle, deux pupilles sombres, ces yeux semblaient vouloir jauger le monde, jauger Kirara. Scrutant avec dureté, choisissant avec fermeté ses proies, un nez recourbé comme celui d’un oiseau était planté en plein milieu de son faciès de volatile. Un oiseau géant, voila ce qui se dressait face à la femme nappé de blanc, un titan, aux bras abatteurs d’arbres, tout en muscles et pourtant aux airs érudits, tout en puissance retenue dans son costume impeccablement coupé, et dont les cheveux drus, les sourcils noir de jet et les moustaches épaisses et fourchus paraissaient exprimer la force virile tapie en lui. Voilée par une tenue et une pondération irréprochable, c’était vrai, il avait tout d’un maître, bien qu’il n’avait pas encore fait ses présentations.

Il inspira à la jeune demoiselle un profond respect, voilé par le silence qui prit rapidement ses assises, flegmatique, direct et tout en éloquence l’inconnu pris la parole :

« Je me nomme Yasushi Tagashi, tu as le privilège de faire partie de mes disciples, je t’inculquerais les rudiments du ninjutsu dont –avec toute modestie-je suis un expert. »

Kirara ne savais pas quoi répondre, il s’approcha et entrebâilla, sous sa moustache, sa vitrine de dents immaculées.

« Rendez-vous, dans sur la plage, demain à 5h. »

Rythme, calme, ton, gestes, éloquence ubiquiste, tout y était et résumait parfaitement la trempe de cet homme. La jeune fille était convaincue et terrassée. Il s’affirmait d’une façon péremptoire, d’une façon qui ne laissait place à aucune contestation. Prenant exemple sur lui, avec autant d’humilité que possible, gardant ses yeux vermeils rivés sur les prunelles d’aigle, Kirara rétorqua :

« Mon nom est Kirara, enchantée- ou pas murmura t- elle, d’être éduquée par vos soins. Je serais la à l’heure convenue »

Yasushi la toisa quelques instants avant de sortir de sa chambre, guidé par son paternel, ils devaient disait il discuter de choses importantes.
La chambre de Kirara se trouvait au dernier étage, une sorte de petit appartement dont la baie vitrée donnait sur la mer. Suspendus à des tringles, des gouaches représentaient des coquillages, un décor qui allait merveilleusement avec les murs bleu azur et la vue sur la mer ; un paradis en soit. La seconde partie de la chambre, car elle était divisée en deux, scindée par une large garde robe, l’autre face était d’un bleu céruléen, des grumeaux de neige étaient paient en gros trop sur les murs, une moquette opaline recouvrait le sol de la chambre, s’accordant à merveille avec les deux thèmes, maritime, reposant, ensoleillé et l’hivernale, immaculé et peu contrasté.

La jeune femme s’allongea sur son lit, en chêne, au bord duquel s’enroulaient des rideaux de soie, en formes tortueuses, presque hypnotisantes, Kirara s’endormi.

Devant elle, la mer prenait ses aises, elle était claire et dolente. Profitait du moindre instant de fatigue pour envahir la terre. Elle faisait la sieste sous l’astre raidis de l’aube, un air fin et chaud, comme mielleux du soleil naissant, entourait, cernait quiconque et l’accueillait de ses brises salées, portées par la mer.

Yasushi lui se tenait droit, malgré le fait que ses soient ensevelis dans le sable, il maintenait sa parfaite stature. Donnant des ordres à Kirara, clair, minutieux, presque maniaque. « Pied droit avant pied gauche et non l’inverse ! », « Même si ça fonctionne, fais le dans les règles. », Il s’embarrassait par des détails inutile, entêté, maussade, il ne laissait pas un répit à la jeune femme.

Sa voix sifflait comme un fouet.
Obéir, respecter l’ordre des mouvements pour qu’il soit efficace à 100 pour cent, ne laisser paraître aucune once de quoi que ce soit, être direct, profiter du moindre instant de faiblesse de l’adversaire, toujours anticiper les mouvements de l’autre et avoir un coup d’avance, ne pas dévoiler toutes ses cartes et crier victoire trop tôt, etc.… Voila dans quoi Kirara fut plongée, quatre annnées de discipline, de mesure et de retenue.

Jusqu'au jour J, l'aboutissement, enfin la reconnaissance, le but était atteint, le désir des autres assouvis, Kirara devait être épanouit en somme. Mais elle ne l'étais pas quelque chose clochait, bien qu'elle eut obtenu son grade d'ANBU, elle ne se sentait pas totalement comblée, une chose l'irritait, exacerbée, maussade. La jeune fille conclu qu'elle ne devait obtempérer qu'à elle même, ne fléchir que sous les poids de ses passions et non celles des autres, céder, assouvir ses propres désirs, atteindre son propre but. C 'est sous toutes ses résolutions qu'elle pris un nouveau départ.

The End

( désolé si j'ai un peu la flemme pour le test rp; je me permet d'en mettre un qui vient d'un autre forum, le rp étant en cours, je sais pas 'il sera accepté <.<)

A peine Shinbou avait elle fini son sermon qu’un jeune blondinet aux cheveux ébouriffés pénétra dans la pièce en gesticulant tel un ouistiti .Ouistiti un surnom mignon et affectueux qui lui allait parfaitement, sa tête joufflue et sa frimousse enfantine concordait foncièrement avec cet appellation, son sourire espiègle et ses airs de primates, tout y était et raisonnait avec aisance sur le thème du blondinet insoumis. Mais il n’arborait pas son sourire habituel, il semblait comme bouillir de l’intérieur, serrant ses poings, ses propos vibraient tels des coups physiques, directs, brutaux. Sans doute que la mission d’espionnage s’était avérée plus dure que prévue, le simple fait que Naruto se trouve en ces lieux en était la preuve. Le retour de ce dernier et celui d’Hinata attendu de si tôt,
en tamponnant quelques ordres de missions, Shinbou pu entrevoir celui de l’infiltration d’Iwa, confié à deux juunins reconnus et expérimentés. Afin d’évaluer la menace éventuelle, le fait était que le retour prématuré du jeune homme n’annonçait rien de bon.

La jeune femme semblait perdue dans ses pensées, elle écoutait le discours des deux locuteurs sans vraiment y prêter attention, l’un décochait des flèches à l’autre, chaque mot portait le ton de la provocation. Shinbou percevait la colère du jeune blondinet dressé à ses cotés, monter vraisemblablement exaltée par le ton hautain de Lucii. On aurait cru une bombe prête à exploser d’un instant à l’autre mais la brune savait comment le calmer, sortant un bol de ramen d’on ne sait où. Cette dernière le tendit à Naruto dans un élan affectif avant de se replonger dans ses constations. La jeune fille humait l’air tout au long de sa réflexion mais elle fut interrompue par la question que lui adressa le jeune Hokage . La brune n’était pas en mesure de formuler ses mots, ses pensées étaient bien trop troubles, ses questions trop nombreuses, elle s’y noyait presque, une multitude d’interrogations. Pas le classique « qui, que, quoi, quand , où, comment ? », C’était pire bien pire , elles se bousculaient l’une après l’autre, ne laissant même pas le loisir à Shinbou d’y répondre. On aurait cru que son crâne étriqué par le manque de sommeil allait carrément imploser sous leur poids, il faudrait à la jeune fille plus d’un jour de repos pour récupérer et effacer les cernes disgracieux qui ornaient le pourtour de ses yeux.
Mais un objet attira brusquement son attention, comme la lumière à la fin du tunnel, le tilt ou le buzz annonçant l’ illumination, la jeune femme avait l’envie indescriptible de crier Alléluia mais elle se
retint. Shinbou s’approcha furtivement profitant de la diversion que les ramens avaient créée. La brune s’assis aux cotés de Naruto afin de lui soutirer la fine farde que celui ci avait posé près de lui, elle la déroba avant de l’ouvrir délicatement, cette dernière parcoura le document des yeux, bien détaillé, centré sur l’essentiel, pas de blabla inutile, un rapport simplifié, complet et facile à lire. Shinbou le fini en quelques minutes avant de le déposer soigneusement sur le bureau de son kage. La brune le fixa avec gravité avant de se plaquer contre la baie vitrée, une gerbe de lumière vint heurter ses yeux, l’obligeant à battre des paupières. C’était vraiment une journée magnifique, on ne voyait même pas les nuages sinueux de la guerre se profiler à l’horizon, ténébreux,captieux, avançant lourdement pour frapper à un moment inattendu.

Visiblement mal à l’aise par le silence qu’elle avait engendré la jeune femme se décida finalement à dénouer les lèvres, répondant à la question de Lucii. Elle brodait avec aisance sa réponse, chaque parole était comme pesée avant d’être prononcée, le tout sur en fond un ton éloquent et appliqué.

« Oui. C’est plus, bien plus qu’une simple rumeur. Et la menace éventuelle est confirmée et n’est pas à sous-estimer. Tu verras bien en lisant le rapport de Naruto. Un kage est appelé ainsi car il est considéré comme le plus fort, mais aussi le plus sage, l’intelligence est de mise autant que la force physique. Envoyer des ninjas en mission par ce temps n’est pas vraiment conseillé, si vous voulez mon avis, garder le plus de force armée est important en cas d’alerte, de plus Naruto est un des piliers du village et est revenu pour le défendre. Je suis bien consciente du fait que Konoha doit garder son image de marque et ne pas refuser les missions proposées mais il serait plus judicieux de refuser celle de trop grande envergure afin de garder l’essentiel des forces au sein du village.
Enfin ce n’est qu’un simple avis, étant ta conseillère je me permet de hâbler de temps en temps. Une question reste cependant, que comptes tu faire ? »

Shinbou humait l’air à grande bouffée, ouvrant la fenêtre et s’accoudant à son rebord tout en mirant Lucii en attente d’une réponse.

Yop! Superbe présentation.

Même si les places de Kage ne sont plus libres, le Mizukage n'est pour ainsi dire pas actif, ni l'Hokage d'ailleurs. Il faut attendre Leck histoire d'en discuter. En tout cas bienvenue parmi nous!

Ouai, il faudrait que vous rafraichissiez le tout, avec Yuki qui ne vient plus ça libère aussi une place à Kiri, et une en nukenin pour Shigeru, et avec l'event qui s'annonce avoir des personnes comme les Kages actives seraient mieux. ^^

Sinon bienvenue, miss sexy Koori. =P

Hideaki a accepté ma proposition pour le rétrogradé (donc cela veux dire qu'il souhaite resté parmi nous mais que pour le moment il ne peut pas RP "ninja d'élite de kiri")

Donc Miss Koori vous prenez la place de votre cousin (ou frère a vous de voir)

Bienvenu a vous Mizukage Sama

Bienvenue Miss X3 et de nouveau, le Mizukage est une demoiselle, retour aux sources *o* /SBAFF/
Jolie présentation ^^ et très bon choix d'avatar!

Oh zut...C'pas fairplay ca de me mettre une miss en tant que Mizukage...Euh bon...Nevermind!!

Irrashaimasse!