Politique aux tropiques

Le matin s'était levé il y a plusieurs heures. Le village de Kumo était sans chef pour quelques jours. Sans doute trois, tout au plus. Quelque chose, soudainement, lui avait donné envie de partir pour Suna. La position du village au sein du conflit lui permettait d'aller où il le désirait sans craindre les affres de la guerre ou le courroux et la vengeance. Et puis, il y avait un tas d'autres raisons. Il n'avait pas encore rencontré le nouveau Kazekage, par manque de temps. Il voulait faire plaisir à Sakura, en lui montrant le village. Et il voulait se sortir quelques problèmes personnels de la tête. On n'ira pas plus loin. Le narrateur que je suis risque d'y passer s'il en dévoile de trop.

Le désert de Kaze no kuni. Peu de gens en sortent indemnes, à moins d'avoir subit un entraînement intensif pour. Même des ninja de Suna s'y perdent, y meurent... D'autres dominent le sable, au point d'en faire un allié. Certains utilisent cet environnement chaotique et désert à leurs fins. La plupart étant des criminels. Les gaz qui brûlaient et s'échappaient du sable faisaient danser le décor. Ainsi, il était difficile de discerner les quatre silhouettes au loin. La première, celle qui marchait un peu devant, et au centre portait un grand chapeau blanc, et une veste blanche avec des motifs électriques. En dessous, des vêtements rouges. Sur les côtés, un ninja portant deux épées sur le dos. Il a un air mauvais, et est sombrement vêtu. Sur la gauche, un homme aux airs sympathiques et portant des lunettes. Il est vêtu d'une grande cape noire. Et juste à la droite du premier homme, une petite filles habillée en rose, au visage rayonnant et à l'air innocent. Tous marchaient dans la même direction.

-Onii-chan. Tu ne veux pas me porter sur tes épaules?

L'homme de blanc habillé ne posa pas de question et souleva la jeune fille par la taille pour la poser sur ses épaules. Cela amusa beaucoup la petite qui riait aux éclats. L'homme aux lunettes esquissa un sourire amusé, alors que le quatrième continuait de bougonner. En effet, ce dernier n'aimait pas marcher. Le soleil l'ennuyait, et il faisait trop chaud. En plus il avait du sable dans ses bottes, et les épées qu'il transportaient étaient lourdes. Il avait demandé au chameau pour petite fille d'en porter une pendant quelques heures, le temps de se reposer. Il avait refusé, disant que ce n'était pas décent pour un Raikage. Maintenant, il porte une gamine.

*Quel enfoiré*

"Allons, allons, Kuro-chan. Tu penses tellement fort qu'on t'entend jusqu'ici. Calmes toi un peu, on arrive."
"C'est vrai, Onii-chan?"
"Regarde plus loin que ton petit nez, et tu verras que je dit vrai"

La petite fille à la voix aigüe explosa de joie. au loin, on pouvait voir d'immenses remparts en terre. Ceux ci abritaient le village du sable. Un village datant de plusieurs siècles, possédant une puissance militaire non négligeable. Un bon quart d'heure suffit au quatuor pour arriver en face des remparts de terre. Dante fit descendre Sakura de ses épaules. Celle ci bouda. Elle croisa les bras, bien en hauteur, et fronça les sourcils pour bien montré qu'elle était fâchée. Mais son visage s'éclaircit quelques secondes plus tard. Elle ne sait pas être fâchée. Toujours joyeuse. Dante et ses acolytes avancèrent d'un pas décidé avant d'être haleté par des shinobi de garde.

"Qui va là?"
"Le Raikage. J'ai besoin de vacances, et on a tarit d'éloge votre soleil."

Le shinobi se saisit. Son regard stupéfait considérait les quatre personnes. D'ailleurs, pourquoi s'encombrait il d'une enfant. Était-ce sa fille? À sa tête, c'est possible. On ne connais pas l'âge réel du Raikage, pas même son nom. Mais on sait qu'il trône et dirige depuis plus de vingt ans. Il y a donc des chances pour qu'il soit père. Mais alors qui sont les deux autres? Le garde disparût après avoir demander aux quatre shinobi de patienter.

*Note. Dante est habillé de son vêtement officiel de Raikage. Les trois autres ne sont pas de Kumo, ils n'ont pas de bandeau. Voici leurs images :

Spoiler:

Cela faisait déjà un bon bout de temps que Shizuka était rentrée de son entraînement quotidien. Elle était rentrée directement chez ses grands parents, et écoutait depuis une heure les comérages de sa grand mère, sans rien dire. Finalement, elle décida de prendre l'air, et comme aller dans la rue revenait au suicide à cette heure-ci (se faire piétiner ne donne envie à personne), elle monta sur le toit de la vieille maison recouverte de sable. De là-haut, on pouvait voir tout le village, ainsi que le désert tout autour, et elle se mit à observer les alentours de Suna, par curiosité.
Le soleil était éblouissant, mais elle distinguait assez loin malgré la poussière du désert. Du côté des portes du village, elle aperçut trois silhouettes étranges. L'une d'elle ressemblait à... à rien en fait, mais en plissant les yeux, elle comprit qu'il s'agissait de deux personnes, l'une portant l'autre. Sans se poser plus de question, elle redescendit de son perchoir, et fonça dans la rue, où elle évita les jambes des villageois jusqu'aux portes de Suna. Le temps qu'elle traverse le village, avec sa petite taille, les quatres étrangers étaient presque arrivés. Elle resta sur le côté, et tendit l'oreille. Au dessus de sa tête, les shinobis de garde se penchaient en avant, demandant aux inconnus de décliner leur identité.

"Le Raikage. J'ai besoin de vacances, et on a tarit d'éloge votre soleil."

Shizuka ne put retenir un "QUoi ???", chuchoté, mais audible si on y faisait attention. Elle essaya de monter comme les shinobis de garde, mais... trop petite >< Après avoir débattu sur la meilleure chose à faire, les shinobis descendirent et coururent vers le village. Pendant ce temps, la jeune Juunin en profita pour prendre leur place et jeter un coup d'oeil aux arrivants.
Parmi eux, une petite fille, du genre, petit ange, mais on ne sait jamais, un grand grincheux plié sous deux épées énormes, un binoclard, et au milieu de tout ça, un homme, habillé tout de blanc avec un grand chapeau de la même couleur.Shizuka se demanda comment les shinobis de garde avaient pu partir en ne laissant personne pour surveiller au cas où, et elle se rendit compte que les quatre ninjas l'avaient vu.
Elle se retourna mais il n'y avait encore personne, et elle tâcha de descendre de son perchoir pour être là quand on ouvrirait la porte. Elle sauta à terre et se planta devant, attendant que le Kazekage arrive.

me promenant pour passer le temps, j'observait les portes du village, quant un homme y apparut, il etait accompagner d'une fille. elle semblait tres jeune, mais semblait cacher quelque chose,( une intuition que je devrait verifier plus tard).

je me dirigea vers l'entree ou les gardes avait arreter les arrivant, et ces derniers s'etant presenter comme le Raikage, je futstupefait et aussi figer pendant un moment.

il me semblait que nous etions en guerre, que venait il faire ici ??
et surtout qui l'accompagne??

je me posait milles et une questions en si peu de temps, j'etais au beau milieu de l'allee, et je le voyais au loin.

une fureur m'envahi soudain, ce sont ses ninja qui ont tuer mes parents, j'avais la ferme intention de me venger, mais pas ici, j'attirerait trop l'attention, et je deteste ça.

j'avança donc avec une rancoeur amere et une extreme envie de me vanger. je m'arreta a environ dix metres d'eux et m'appuya contre une maison pour pouvoir observer la scene comme si de rien n'etait.

les gardes partirent, laissant les arrivant aux portes du village, je les observait fixement, rien ne detournerait mon regard d'eux, rien ni personne.

je n'arrivait pas a entendre ce qu'ils se disaient, donc, je m'approcha et me rappuya sur une autre maison, je sorti un paquet de gateau et je commença a manger, tout en ecoutant ce qu'ils disaient.

je m'appercu que je n'etait pas le seul a les observer, une femme etait perchee et les scrutait tout autant que moi, mais qui est elle elle aussi ??

Quelle chaleur ! Remarque, vous me direz que dans le village du sable, en plein désert, il n'est pas SI étonnant que l'on meure de chaud, mais là, même pour les grands habitués au soleil ardent du sable jaunes du désert, ce jour là il faisait chaud. Un chaleur assez forte pour réveiller un kage de Sunagakure dans son palais, en effet, les rayons puissants du soleil sur les carreaux ont tendance à faire monter la température en flèche. La température était telle que les gazs contenus dans l'air faisait ondulé la vision des gens. Quoi qu'il en soit Nepenthes Ooramada, Kazekage de Sunagakure de son état s'était réveillé. Les draps blancs de sont lits formaient des plis, exagérés par le nombre de nuits durant lesquels ils n'avaient pas dus être changés, et le Kazekage formait une forme ovale dans ce lit énorme occupé par le Kage seul. Ses muscles s'étirèrent, le ninja baillant, on voyait sa bouche avec ses dents blanches, rangées comme il faut, pointues par endroit et le début de sa gorge, en regardant bien on pourrait même voir le larynx.

Bien, qu'allait-il faire aujourd'hui ? Quelle combine allait-il encore trouver pour éviter de remplir ces satanés papiers qui lui pourrissait l'existence. Il fallait un évènement, quelque chose pour le distraire, l'occuper, lui éviter les piles blanches qui ne cessaient de s'agrandir chaque jour, avec bien entendu les remarques du conseil de Suna sur cette flemmardise à l'encontre de l'administration qui commençait à être très mal vu. Il pivota sur lui même, s'asseyant au bord de son lit, sa peau transpirait légèrement, quelques gouttes de sueur perlait au niveau de ses tempes, sa peau nue humide avait sûrement transpirée durant la nuit et les draps avait du l'aspiré, une des seuls raisons pour avoir des draps à Suna. Le palais du kazekage n'est pas un endroit où il fait bon vivre, en effet l'intérieur chauffait très vite, emmagasinant la chaleur ne la relâchant que la nuit rendant l'obscurité lourde, pesante et très désagréable.

Il s'habilla donc, sans se presser, il y avait le temps, et ce temps là il devait l'utiliser pour réfléchir à un plan diabolique pour faire une chose affreuse : ne pas lire une seule fiche administrative de la journée. Désolé pour les âmes sensibles si je les aies choquées. Il enfila ses gants parés d'os, sa tunique à l'abdomen nu surplombés par ces côtes réelles, un gout subtil pour le morbide une attirance pour ce qui est sinistre, rendant le personnage un peu effrayant. Soudain une idée lui vint pour passer la matinée et chercher un évènement. la boule de cristal. Oui un bon Kage doit toujours avoir sa boule de cristal pour savoir tout, voir tout dans son village. Quoi ? Cela brise l'intimité des gens et dérivent quelques fois vers des vestiaires au signe féminin ? Mais non, voyons.

Il sortit donc sa boule de cristal, de couleur verte, un vent permanent soufflait à l'intérieur, ce vent qui permet de voir, ce vent du destin, l'ensemble brillait au soleil et l'ombre transparente était d'un joli vert émeraude qu'on ne se lassait pas de regarder. Nepenthes s'assit en tailleur, sur un oreiller bien moelleux, aux textiles de couleur verte assorti au vert de la boule, sur son énorme balcon afin que la brise fraîche du matin lui refroidisse la peau. D'un geste habile il passa sa main au dessus de la sphère et le vent intérieur bourdonna, s'agita formant des tempêtes, sifflant aux oreilles. Les yeux profonds et rouges de Nepenthes plongèrent dans la sphère, cherchant, traquant, on pouvait lire sur le visage habituellement inexpressif du Kazekage une concentration pour... pour quoi au juste ? Pour afficher une image et espionner, ou plutôt surveiller son village. soudain une image apparu, les toitures de Sunagakure no Sato, les passants... passaient, tout était calme, les civils vaquaient à leurs occupations matinales, les ninjas s'entrainaient durement ou se tournaient les pouces, le conseil s'occupait de gérer aussi le village. Que d'originalité, la même chose que chaque jour. S'amusant à voir ce que faisait ses Juunins le Kage tomba sur Shizuka, sur un perchoir contemplant la ville et ses horizons, de belles étendues de sable fins, jaunes, asséché par le soleil de plomb, sans une ombre à portée de vue... Du moins, normalement. En effet un groupe de quatre personnes s'approchait du village. Il n'avait pas l'air d'être des ninjas en infiltration, c'était bien trop peu discret... Il devait aller vérifier par lui même. L'image dans la boule de cristal cessa, le bourdonnement avec, les yeux du kazekage se leva doucement, regardant le ciel bleu dénué du moindre nuage de la région du village caché du sable. Un bleu joli sous un soleil de plomb, une journée que les habitués de la pluie aurai détesté, une journée normale pour les habitants du village. Quoi qu'il en soit il devait aller voir qui était ces trois silhouettes. Il se leva, envoya son coussin balader vers l'intérieur du palais, puis pris délicatement la boule de cristal et l'enveloppa dans une serviette verte, un peu transparente, dans un tissu qui devait valoir cher, il le déposa avec précaution sur un meuble en ébène et commença à se dématérialiser, emporter par le vent, comme une simple statue de sable.

Voler dans le vent est agréable on sent l'air nous caresser, faire voleter ses cheveux, rafraichir les pensées et le corps donnant une impression phantasmorgasmique. ëtre le vent est une tout autre impression, une autre expérience, plus enrichissante ? Ce la reste à voir, différent plutôt. Une simple envie de tout faire et d'avoir le pouvoir de tout faire, s'infiltrer partout, tout visiter, faire le tour du monde. C'est une impression qu'on envie non ? Une expérience qu'on voudrait faire ? Assurément, et c'est ce que Nepenthes, le Kazekage savait faire. Il volait donc, enfin il se déplaçait pour arriver aux portes de son village. Là les quatre personnes l'avait déjà rejoins, où plutôt étaient déjà là et un attroupement de personnes les regardait, ébahi. Il reconnut un peu au devant de la foule la juunin qu'il avait précédemment espionné, Shizuka Miura, du haut de sa petite taille elle en imposait de son caractère, et elle était plutôt mignonne quand elle était sérieuse. Il y avait aussi un genin du village, quel était son nom déjà ? Nephelim, oui c'était ça. Ce qui était le plus drôle pour le Kage c'était qu'aucune personne ne savait qu'il était là, sauf si l'un d'entre eux avait son niveau, celui d'un Kage, alors il sentirait sûrement le chakra. Mais il vit les gardes de la porte, sensés restés tous à la porte, abandonner leur poste pour soit disant prévenir le Kage, quelle bande de gardes stupides, le Kage sait tout.

Passons aux quatre personnages, l'un d'eux était plus qu'intéressant, des habits qui faisait officiel, adapté à la situation, une étrange émanation de chakra, un bandeau ninja où on pouvait voir le symbole de Kumo, alors que sur les trois autres personnages, non. Bizarrement il lui rappelait une description. Il chercha dans sa mémoire, oui. Oui... Les espions avait rapportés une description physique du Raikage dans cet ordre d'idée, plutôt imposant, les cheveux blancs une posture qui en impose, et n'avait pas froid aux yeux. Il allait en terrain ennemi en tenue officielle, pas remplacé par un autre ninja. D'ailleurs plusieurs rumeurs circulaient ces derniers temps, en effet, cela faisait maintenant près de 20 ans qu'il était el kage de Kumo, et il était resté dans une forme de jeune adulte, n'ayant pas pris une ride, on dit aussi qu'il serait différent de tout le monde, et que son physique cache un étrange pouvoir, cela intriguait bien évidemment Nepenthes. En forme venteuse il passa autour de lui l'analysant dans se smoindres détails, son émanation était différente, il sentait une puissance cachée à plein nez...

Mais heureusement il n'avait pas l'air hostile, et un simple duel de regard s'engageait entre la troupe et Shizuka, restée seule pour les "acceuillir", le Raikage, si il venait pacifiquement, aurait du caché un peu mieux son bandeau de shinobi. Soudain derrière la troupe, adossé contre un mur de l'arcade d'entrée du village un personnage se matérialisa, du sable commençait à former les jambes, puis le bassin, le torse, les bras et enfin la tête. Un homme plutôt grand, aux cheveux bleus mi-longs, deux cornes sortaient de ceux ci, un regard profond, des pupilles rouges sang, les bras croisés, dans une manière très arrogante. Son visage ne trahissait aucune émotion, ni son regard d'ailleurs, la foule, faisant face à Nepenthes et aux nouveaux arrivants fut surprise et heureuse de l'arrivée de leur Kage. Les bras croisés au dessus de son abdomen il s'adressa directement au Raikage, un certains Dante, sachant que celui ci saurait sans doute également son nom il n'hésita pas à employer le nom. Sa voix tinta, derrière le Raikage et son escorte, là où l'on ne l'attendait pas, une voix qui dérange toujours de son habituelle non émotion, pas froid, juste, égale...

"Bonjour Dante-san, que nous vaut le plaisir de cette visite en l'enceinte de mon village ?"

Le désert était cuisant, et pourtant, personne ne suait. Les ninja de Suna qui s'étaient attroupés aux immenses remparts de terre avait un équipement spécial pour combattre le désert. Dante était un des plus grand ninja au monde, logique qu'il n'y ai pas une perle sur son front. Les trois autres sont mort, c'est d'autant plus logique. Du monde s'était accumulé pour observer le quatuor. Quelque chose d'anormal. Ils semblaient hostiles à première vue. Des regards assassins, d'autres pétrifiés.

Kumo n'est pas réellement un village bien aimé dans le monde. Personne ne sait de quel côté ils sont rangés. Si c'est avec Kiri, le village destructeur qui a, selon les dires, entamé la guerre, ou si c'est avec Konoha et Suna, les gardiens de la paix. C'était sans doute une des premières visites diplomatiques que Dante faisait. Il était donc normal que tout le monde ait quelques appréhensions sur ses intentions, aussi bonnes ou mauvaises soit elles.

-Dis moi, Dante kun... On te réserve souvent un tel accueil?
-Haaaa...C'est vrai que ça a changé depuis que je suis venu ici...
-Et ça date de quand?
-Depuis ma promo au rang Chuunin.

Les trois escortes tombèrent à la renverse. Il faut bien le dire, Dante n'avait pas précisé ce point. Chuunin disait il? Ca date de quand alors?

-TU TE FOUS DE NOUS?!!!
-Alors le village est si vieux que ça?
-Il y avait des dinosaures quand tu es venu, Onii san?
-T'es vraiment trop sénile!!

Chacun de ces mots écrasèrent Dante. Vieux, dinosaure, sénile. On ne l'avait jamais traité ainsi. Mais il est vrai qu'il se faisait vieux. Surtout avec tout le temps passé en enfer. Mais c'est surtout parce que c'est de la part de trois amis, que ça fait plus mal. Il n'est pourtant pas si vieux. Enfin, à première vue. Et il est loin d'être sénile.

-NAN MAIS CA VA...?Euh?

Avant qu'il n'ait pu abattre ses foudres sur ses comparses, il senti quelque chose d'étrange. Une émanation de chakra différente, puissante, et pourtant faiblement palpable. Un vent tournoya autour de lui, comme s'il voulait tout savoir, tout sentir, tout connaitre de lui. Un sourire s'afficha sur le visage du Raikage, ainsi que sur celui de Kurogane. Ce sourire, on le connait. L'envie de se battre, de terrasser son adversaire, et de lever un poing victorieux. Le vent disparût pour réapparaître au loin. Des vêtements bizarres, en forme d'ossements, et une tête cornue.

"Bonjour Dante-san, que nous vaut le plaisir de cette visite en l'enceinte de mon village ?"

L'excitation gagnait le coeur de Kurogane. Il s'emballait. L'envie de combattre un adversaire aussi fort était inexorable, incontrôlable. Il a ce besoin maladif de se battre, peu importe l'adversaire. et quoi de plus merveilleux qu'un Kazekage? Sa main lui démangeait. Il voulait prendre ses épées et trancher le tas informe de ninja qui lui faisait face.

-Kuro-wan...Caaaalme...

Une veine palpita sur sa tempe. Dante avait l'art de l'énerver en lui donnant des suffixe ridicules, ou en l'insultant tout simplement. Kuro-wan était sans doute le pire. Surtout s'il est suivit par une phrase qu'on dit à un chien en temps normal. Sakura était assez perplexe en voyant un gars fringué de cette manière. Il faisait peur avec ces ossements et son ton indifférent. Elle se planqua en dessous de la robe de cérémonie de Dante. Seishirô se contenta de sourire, doucement, d'un sourire rassurant.

-Heh...Je suppose que t'es le Kazekage, hmm? T'es pas très acceuillant. Tu fais peur à une petite fille. Bouuuuuh, c'est pas bien çaaaaa...

Dante exagérait ses dires, à la manière d'un enfant. Il agrémentait ses paroles de gestes immenses, et indescriptibles. Oui, oui. Je vous rassure, c'est bien lui le Raikage, nul doute. Mais il agissait comme un enfant. Il n'a jamais pu supporter de vieillir, de prendre de l'âge. Bien qu'il soit généralement sérieux, il doit toujours en faire trop. Un grand enfant...Très vieux...Très très *ZBAFF* Hum...Je crois que c'est tout...

Shizuka commençait à avoir des foumis dans les jambes. Il lui semblait qu'elle était plantée au même endroit depuis... ben, longtemps. Même si elle ne les voyait pas d'où elle était, elle savait que les nouveaux arrivants de Kumo s'impatientaient eux aussi. Elle ne pouvait s'empêcher de tourner la tête dans toutes les directions de temps à autre, pour voir si le Kazekage n'était pas arrivé, mais toujours rien. Elle entendait leur voix. Elle écouta, mais s'en lassa vite.
Enfin, Nepenthes arriva, et elle se força à ne pas sursaute car elle ne s'attendait à le voir venir... par là. Shizuka se recula un peu, par respect pour son Kage, et surveillait du coin de l'oeil l'un des étrangers, celui qui portaient les deux épées. Il semblait avoir du mal à se contrôler, et elle ne voulait qu'il attaque Nepenthes-sama, même si elle ne ferais rien que le Kazekage ne sache pas faire. Mais le Raikage retint la brute, en lui parlant comme à un chien. D'ailleurs sur le moment, Shizuka eut de la peine pour lui, mais elle redevint vite sérieuse.
Les deux Kage échangèrent quelques mots. A première vue, ce n'était ni le grand amour, ni du sérieux. Difficile de savoir quoi en penser, à vrai dire. Mais la jeune Jûnin ne dit rien, sans pouvoir s'empêcher de penser que le Raikage faisait preuve de culot, à s'adresser à Nepenthes-sama de la sorte. Au fond d'elle, Shizu pensait à la même chose, en l'exprimant haut et fort... en pensée bien sûr. Shizuka lui répondait en son for intérieur, de l'extérieur, elle restait de marbre, pour ne pas faire honte à son village, en face de ses étrangers.

**Comment ose-t-il celui-là !**

**Shizu, c'est le Raikage, il fait bien comme il veut... Même si cela dérange Nepenthes-sama, que veux-tu qu'on fasse ?**

**Pfff, toujours aussi pacifiste à ce que je vois ! Je pensais que tu pouvais au moins te bouger pour ton Kage...**

Shizuka ne releva pas. Pas la peine de se disputer avec son double, elle allait rater la moitié des évènements qui était en train de se dérouler. Elle s'approcha imperceptiblement de son Kage, car elle souhaitait faire preuve de loyauté envers lui, en le soutenant, même s'il n'en avait pas besoin. C'était bizarre de ne rien dire, d'observer, alors que ses quatres ninjas pourraient, d 'un moment à l'autre attaquer le village. La jeune fille se tenait prête à réagir au moindre faux pas de leur part, et elle continuait de les surveiller en se taisant.

Ce qui était bien quand on apparaissait de la manière de Nepenthes c'est que même les habitués du village, qui voit plus ou moins souvent le Kazekage sont toujours surpris, ça l'amuse très souvent de pouvoir des têtes surprises avec un mélange de respect du à son grade. Un rire secoua son esprit en observant le quatuor, c'était vraiment une équipe de choc, une petite fille peureuse aux cheveux roses, un homme en noir qui s'excite facilement quand un chakra s'annonce prêt de lui, un Raikage grand enfant, et un binoclard plutôt classique mais à l'apparence frêle. L'apparition de Nepenthes suscita deux évènement dans le quatuor, un surnommé Kuro-wan, qui cherchait visiblement à se battre, un peu suicidaire dans l'élément même de Nepenthes, avec la veine sur la tempe etc dans une mauvaise caricature du méchant toutou. Et la fille aux cheveux roses qui se cacha sous les vêtements d'apparat du Raikage. Décidément, on allait pas s'ennuyer.

Shizuka, la Juunin de Suna quand à elle voulu retrouver son Kage en contournant le groupe mené par le chef de Kumo, visiblement elle n'était pas très rassurée et à son expression elle était outré de la façon dont Dante parlait au Kazekage, lui même s'en fichant éperdument, il savait très bien que la puissance amenait à ce genre de comportement, que le chef du clan Ooramada refoulait sans cesses, sauf lors de ses pauses éloignées. Se redressant il rejoins en quelques pas Shizuka, posant sa main sur son épaule, comme pour lui indiquer la non gravité de la situation et des paroles du Raikage. Le terme accueillant de Dante n'allait pas bien ici, le Kazekage est réputée comme inexpressif même dans les villages ennemis, c'est ce qui fait qu'il peut être imprévisible. Lui donnant un effet de surprise net, et c'est ainsi aussi que l'on ne devinait pas la teneur de ses paroles.

"Kuro-wan ? Ça c'est un surnom, mais quel est le vrai nom de ton ami Dante ?"

Il marqua une pause pour étudier la réaction du concerné, qui, visiblement, n'appréciait guère la farce. Nepenthes s'avança vers le Raikage, pour mieux le voir, pour que lui même le vois mieux, une sorte de confrontation oculaire, mais avec des yeux ne trahissant pas vraiment les pensées, juste lisant dans ceux de Dante.

"Pour que tu aies un accueil, il aurait peut-être fallut prévenir de ton arrivée, ça aurait aussi été plus poli, tu crois pas ? Et tu ne présentes même pas tes amis, et tu ne me présentes même pas, pas bieeeen non pluuus Dante."

Les paroles rendait le ton enfantin de Dante, mais sans l'intonation ça avait l'air d'un défi, de plus c'était au fond un test, rien que pour sentir ce que le Raikage voulait ici, si en lui répondant de la même nature qu'il s'est adressé au Kage du village caché du sable lui plaisait, ou non.

Le soleil tapait fort dans le large désert de Kaze no kuni. L'horizon ondulait aux yeux de tous, et les mirages commençaient à apparaître. Le premier était sans doute une gamine aux yeux rouges. Mais quelque chose de spécial, de bizarre la rendait différente. Quelque chose résonnait, une pensée...Dante l'entendait doucement. Il crut même avoir des acouphènes. Un moment, il lui sembla même de voir double. Mais ses sens se retournèrent vers Kurogane qui s'énervait. Déjà qu'il n'était pas d'humeur joyeuse pendant la marche, il fallait maintenant que le Kazekage le titille encore plus. Il venait d'en rajouter une couche en prononçant le surnom que Dante lui donnait affectueusement. Déjà qu'il avait une folle envie de le massacrer, ça ne faisait qu'augmenter. Il avait l'épée facile, surtout quand son adversaire était plus fort que lui.

Le Kazekage s'amusa encore un peu. Il entrait dans le jeu de Dante en lui disant qu'il fallait présenter ses amis. Il voulait être présenté. Seulement, Dante ne le connaissait nullement. Il avait juste entendu parler d'un nouveau Kazekage, plus semblable au Godaime que jamais. Godaime Kazekage s'entend. Ce dernier s'est éteint il y a environ 130 ans. Peut être plus. La légende dit qu'il était Jinchuuriki du Shukaku et qu'il manipulait le sable comme personne. C'est aussi le pouvoir du Kazekage d'aujourd'hui. Enfin... Dante tenta de calmer Kurogane. Allez savoir comment, mais le bretteur s'était calmé d'un seul coup. Bien que la veine était toujours battante sur sa tempe.

"Ha...Je me suis dit que j'aurai une réponse plus satisfaisante en venant sans rien dire, héhé. Mes compagnons sont...Kurogane..."
"Hrrmmm"
"...Seishirô"
"Ohayo gozaimasu"
"...et enfin, Sakura...Elle est assez timide"

Une voix étouffée répondit "bonjour" sous la robe du Raikage. Sakura est d'un naturel impressionnable. Enfin, ça dépend avec qui bien sûr. L'accoutrement du Kazekage n'était pas très chaleureux. Des ossements...Qui pourrait aimer ce genre de trucs? Mais ce qu'il y avait de plus effrayant, ce sont les cornes qu'il avait au sommet du crâne. Il n'a vraiment pas un look conventionnel.

"Désolé, mais je ne connais pas ton nom. Tu vas donc te présenter, ainsi que la fillette qui est à coté de toi..."

Pendant que les deux Kages se balançaient des vannes sans se lasser, Shizuka continuait tranquillement d'observer les nouveaux arrivants. Elle attarda son regard en particulier sur le Raikage évidemment, mais tous les quatres étaients tellement étranges qu'il se détachait à peine des autres, question bizarrerie bien sûr... En posant sa main sur l'épaule de la Jûnin, le Kage lui avait fait comprendre de ne rien faire, de rester calme, mais elle ne pouvait s'empêcher d'avoir des doutes quant à la confiance à donner aux ninjas de Kumo.
Enfin le Raikage présenta ses compagnons de voyage. Kurogane, certainement égal à lui-même, n'émit qu'un grognement bruyant, Seishiro semblait au moins faire semblant d'être sympathique et Sakura... avait surtout l'air de ne pas avoir envie de voir les inconnus qu'ils étaient pour elle. Le Raikage alors, reprit la parole.

"Désolé, mais je ne connais pas ton nom. Tu vas donc te présenter, ainsi que la fillette qui est à coté de toi..."

Shizuka eut l'impression de prendre un coup de casserole sur la tête, mais non, c'était Shizu qui pétait un câble... Le double qui supportait encore moins que la jeune kunoichi qu'on la taite de gamine, s"égosillait, et hurlait diverses insultes et menaces... Je vous donne un petit exemple :

**Raikage ou pas, dés que je sors, il se retrouve le corps éparpiyé à travers le désert, et il servira de déjeuner aux vautours !!!!**

La Jûnin lança un regard noir à Dante. Ele allait en entendre parler pendant plusieurs moi maintenant, et merci pour le mal de crâne ! Sous le coup de l'exaspération, et sûrement de la colère surtout, elle prit la parole sans laisser son Kage en placer une.

"Je suis Shizuka Miura, Jûnin... (Et elle crut bon de rajouter...) 18 ans..."

Elle se souvint alors que c'était à Nepenthes de répondre en premier. Elle tourna donc un visage gêné vers lui, et s'excusa dans un souffle.

« NANIIIIIIIIIIIIIIIIII ??? » Et oui ! Le Kazekage était partit, seul, à la rencontre d'une délégation venant droit de Kumo, un village supposé ennemi. Mais il n'était pas bien ou quoi ? Imaginez la surprise lorsque le secrétaire du bras droit, apprit la nouvelle au Bras droit en question. Saïka c'était levée de sa chaise soudainement, plaquant ses mains sur son bureau qui c'était détruit sous le seul impact de celles-ci, éparpillant un bon millier de feuille dans son bureau terni par une peinture brune et assez ennuyeuse. Des dizaine, que dis-je ? Des centaines d'heures de travail de classement que le secrétaire avait fini seulement deux heures avant, après un mois de travail acharner. Sa mâchoire avait touchée le sol, il ce voyer déjà tout recommencer. Mais passer cette surprise, Saïka ce reprit bien vite et aboya deux trois ordres à son fidèle second...

« -Bien, fait amené le tapis rouge, les portes étendards de Suna, et heu... Enfin, la délégation protocolaire d'accueil quoi ! Allez plus vite que çà ! » Le bars droit du bras droit acquiesça et s'en alla en courant, laissant la porte grande ouverte, Saïka rejoignis la porte, une main sur le cadre et l'autre sur le bord ouvrant de la porte elle passa la tête dans le couleur, regarda un mastodonte de deux mètres de haut qui garder l'entrée, il la regarda, et disparus aussitôt, ce transformant en une bourrasque d'air qui fit voler les cheveux de Saïka, lui, il allait chercher la garde personnelle du Kazekage dont Saïka faisait partie intégrante. D'ailleurs, cela ne faisait que très peu de temps qu'elle en était, de cette garde. Depuis son arrivée elle n'avait pas quittée le village à plus de quelques centaines de mètres, c'était donc l'une des premiers fois qu'elle retournerai devant les portes ouvertes de Suna.

Rapidement elle retourna dans son bureau; ouvrit grand les portes d'une garde de robe, quinze tenue de toge était accrochée là. Toute identique et pourtant, Saïka mit bien dix minutes à en choisir une qui correspondais plus que les autres selon elle à la situation. Une délégation neutre, penchant vers l'ennemi, s'il y avait la moindre chance de les rallier à Suna... Il fallait suivre le protocole. A cette idée, nue dans son bureau, elle vérifia un dossier dans un tiroir... Oui, il y avait bien les résidences d'émissaires de libres. Sauver ! Elle termina donc de mettre cette tenue qu'elle adorait tant.

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Cette tenue ressemble aux toges à la romaine ou à la grecque mais beaucoup plus stylisé. En fait Saïka l'à faite elle même avec des maitres de toges. Faisant de cette tenue dépassée, une tenue BCMG dans le pays du sable. Des chaussures grossières et marrons, attaché par un système compriment presque les veine de manière à ce que le sable ne s'y infiltre pas. De cette faute de goût nécessaire, ce dévoile des bas noir foncé attire les regard sur de superbe jambes; S'arrêtant au dessus de ses genoux. Un short de toge avec un petit bout en biais, volant au vent pur révéler la partie de ses jambes non cachée. Une plus longue attachée derrière pourrait être assimilée à une cape bien belle mais démarrant à la taille. Les deux morceaux décrit formant un paré haut assez novateur. Le tout étant attaché par une petite ceinture noirâtre. Aux boucles en métal gris. Un haut semblant à un gilet de costume fait de toge, serré en bas par une ceinture et améliorer d'un nœud au col. Rattaché par de petit cordons noir, deux manches blanches de toge parte comme de longues mitaines jusqu'au poignets. Un petit bout de tissus autour du coup, avec un petit nœud noir montrant une certaine excentricité, cela lui faisant deux nœud. Pour finir, un énorme nœud de même matière que le reste noue ses cheveux. Ne laissant tomber qu'un nombre contrôler de mèches sur son visage et sur le coter et l'arrière de son crane.

Celle-ci enfilée, parfumée à la rose des sables -Bien plus douce au nez que la rose normal-, elle balaya du regard les cinq tsanza alignée sur une étagère accrochée au mur et en prit une à la sauvette, commençant à courir en dehors du Temple administratif du Kazekage, accrochant la Tsanza à sa ceinture basse. Celle-ci était assez belle à son goût et renfermer une esprit puissant qui la motiverai. Il était celui d'un anbu du village de Konoha, qui avais eu la folie de tenter de l'empêcher de détruire tout un village avec son ancien sensei, le seigneur des champs de bataille, Zodd le magnifique. La tête était assez reconnaissable malgré sa teinte de peaux foncis par le rituel de réduction de la tête. Mais qui ce souvenais d'un visage auparavant caché par un masque détruit lors du combat ?

Bref, la jeune Kunoichi, les cheveux attaché à son grand ruban mais des mèches cognant ses yeux sortit du temple et ce stoppa net, les rayons du soleil l'agressèrent si puisement qu'elle en fut obligée. Saleté de réflexe humain... Elle devrait remettre le masque d'entrainement si elle continuer à garder les yeux ouvert trop souvent ! Enfin donc, elle les referma prestement. Ses écho, une danse de son peuple permanente, lui permirent de ce repérée avec de toute manière, une précision bien plus juste. Elle tourna donc sur sa droite, la plupart de ceux attendus étaient là. D'un doigt sévère elle désigna un ninja et lui confia la mission de faire préparer les suites, au cas ou la délégation n'était pas une délégation de guerre et de mort.

Saïka courus donc, vers les portes du village, suivie par bien cinquante ninjas et autant de non ninja, des musicien pour jouer l'hymne du village... Alors qu'elle clouerait, tentant d'être lente mais distancent malgré elle les autres, elle ne fut que de moitié surprise lorsqu'elle vis les portes ouvertes. Qu'elle, erreur... Dans sa course elle désigna donc de nouveau un ninja:

« Mur d'eau à mi auteur, ils ne doivent pas voir les préparatifs. Toi, toi, toi et toi, avec moi ! »

Les quatre meilleurs de la garde personnelle du Kazekage suivirent donc Saïka en avant alors qu'un murs d'eau s'éleva devant les portes, comme une belle fontaine; apaisant l'air qui passer au travers, et immaculan les visages de fine gouttelettes fraiches des gens trop prêt, une défense visuelle soigneusement choisie. Une seconde le murs d'eau s'ouvrit, révélant un rectangle debout, comme le cadre d'une porte, et en sortir d'abord un porte étendard qui partit ce placé sur le coin le plus a droite dos au mur d'eau. Le second fit de même, puis ce furent Saïka, et ses quatres suivants qui sortirent.

La déception fut bien grande de constater que contre tout protocole, le Kazekage ne ce trouvais pas a l'entrée, mais derrière le groupe. Un groupe que Saïka s'empressa de ce décrire avec ses échos, d'une manière assez basique: Un grand bourrin épéiste, un pseudo beau gosse qui aime le style vampire, avec ca cape... Un gamine, et un Raikage très protocolaire de part ca tenue. Elle n'en connaissait aucun, remarque, personne ne devait la connaître non plus, vus qu'elle ne c'était que peu éloignée du village et que même les ninjas avaient parfois du mal a distinguer clairement les ninjas espionner, des espions de Kumo aurait eu du mal déjà à donner son physique, alors de là à imaginer qu'ils aient pu infiltrer le village lui même pour espionner la jeune femme qu'elle était... Alors qu'elle observer, la discutions allait bon trin.

Suivie de ca propre équipe:
Une équipe assez atypique. Elle était composée et remarquée par deux géants, l'un faisait deux mètres vingt, mais malgré sa musculature certaine, était très élancé. Il sembler assez âgé mais à une époque, il avait était le shinobi le plus rapide sur ses jambes, de tous le pays... Encore aujourd'hui il était parmi les plus rapide. L'autre géant, au cheveux non pas grisonnant comme le premier mais d'un orange assez foncé, et à la coupe dégarnie tout autour, lui donnant un aspect punk en total désaccord avec sa musculature de titan, semblait de son regard être un pacifique endurcis... Enfin ce trouver deux nains, Saïka étant de taille moyenne pour une femme, et ses deux derniers suivants étant pour le premier, à la longue tignasse argentée... A peine de la taille du Bras Droit de Suna Gakure. Il avait une main bandée, posée sur l'un de ses deux katana, l'autre étant dans son dos. Enfin le troisième était assez minable en taille mais de son visage, tous le disait aussi jeune que l'autre petit du groupe -Sans être un nouveau né-, à peine la vingtaine. Chauve, les oreilles décollée et les lunettes d'intello semblai le désigner comme ninja médecin du groupe.

Saïka fit un signe de main discret au plus vieux du groupe et aussi au plus grand qui fit un pas en avant, prenant la tête de la délégation immobile. Elle profita de leur arrivée, certainement remarquée mais que des présentation en cours obligeas d'ignorer pour l'élancé d'un bond, et disparaître, laissant de part ca vitesse folle une image d'elle même en plein décollage, qui ne disparus qu'une ou deux seconde, après qu'elle eue atterri aux côté libre de son Kazekage, un pas en arrière de celui-ci, son épaule droite cachée par la gauche de son kazekage, elle approcha sa bouche de l'oreille du Kage de Suna et chuchota quelques paroles, après que les autres eussent parler car il n'aurai pas était bienvenus de couper la parole d'une délégation:

« S'ils ne sont pas hostile, tout est prêt pour les accueillir, Kazekage sama... » Le vent faisait volé les mèches de Saïka, soulevant légèrement son paré haut de toge, l'envoyant volé contre le kage; Ce n'était pas une tenue pour le combat, cela, c'était sur. Mais elle n'était pas non plus contraignante, loin de là, les articulations était libre dedans. Les trois yeux rouge de Suna était donc présents, au seul détail que Saïka avait les yeux fermés. Le vent soufflé donc, changeant régulièrement de direction, frappant les visages, baladant le parfum de la Kunoichi et étouffant les ninja de la chaleur contenue dans l'air.

Enfin elle regarda la compagnie; elle était assez sérieuse. E les autres aussi, cela ce sentait. L'un d'eux, la tempe frappant son crane a grand battant de sang, réveillé tous les instincts de Saïka, les échos suivait chacun de ses tambourinements, elle voyait clairement une tache indiquant un afflux de sang proche de la peaux... Et la soif de sang... Commençait à ce réveillée. Cela ce caractérisant par l'apparition et la disparition sur son front des deux points typique des Kaguya, mais ceux-ci étaient caché par tant de cheveux qu'il était impossible de les y voir... Cependant; Et pour contrôler cette soif, elle rejeta son attention de sur ce ninja. Le pas de convenance en arrière de son kage, Saïka hésita à ce présentée son tour, cela bafouer tous les codes apprit lors de sons stage de Bras Droit...

Ses échos ce posèrent sur Shizuka, puis revint sur le kage, sans visage tournant donc malgré ses yeux fermés. Une bonne manière pour ne pas être désobligeante en regardant un supérieur dans les yeux. Exécutant une petite révérence elle ce décida à ce présentée dans celle-ci après avoir laissée ce dessiné sur son visage un joli sourire plein de gaité... Quoi qu'entache par cette satanée envie de sang...

« Saïka, Bras Droit du Kazekage, ravie de voir enfin une délégation venant de Kumo... »

Ravie... tel était le mot. Car même s'ils venaient en de mauvais termes; Au moins alors, Suna libèrerai le royaume Ninja de l'un de ses ennemis. Dans le cas contraire, que le presque neutre change de camps serait une nouvelle exceptionnelle, un avantage de poids dans le renversement de Kiri. Ou bien, peut être désirez ils rester allié avec les trois villages. Ce qui ne serai pas une mauvaise nouvelle non plus, loin de là. Sa phrase était donc aussi bien chargée de sens que de possibilités. Ne ce souciant pas d'avoir peut être fait une erreur en préparant un accueil plus que normal pour un kage. Il était d'ailleurs à penser que derrière une file d'Anbu jalonnent le tapis rouge, le peuple de Suna c'était massé...