[Pv : Yoko-chan] Au bord du gouffre, paisiblement

Il y a des moments dans la vie où le vent nous porte à faire notre devoir, être un bon citoyen, voire même le parfait citoyen, dans un modèle qui dépend des mondes, des continents, des pays, des villes, qui dépend également des modes et des vagues du moment. Des autres occasions le vent nous mène à être … éloigné de tout ça, un marginal, seul, loin de tout, sapé comme ses propres envies lui dictent dans une vie simple.

Ce jour là, le vent avait mis le kazekage sur le second chemin, celui qui consistait à s'éloigner d'un peu tout et de faire son marginal, aller dans l'ombre, penser, se recroqueviller sur soi et essayer de retrouver qui l'on est à l'origine, le véritable soi, la quête de toute une vie, enlever tout l'héritage de l'entourage des années passées pour ne retrouver que l'origine. Et ça, on ne peut le faire qu'au calme.
C'est ainsi que le chef de file des shinobis de Sunagakure s'exila dans les étendues périphériques de sa patrie, dans un lieu que l'on nomme Ravin perdu, faille terrestre étendue de plus de deux lieues abritant une fraicheur rare, des plateformes en pierre sortaient des deux gigantesques côté de la faille et sur l'une d'elle se tenait assis le kazekage, une guimbarde en bouche, jouant et pensant ne regardant même plus le petit sentier abrupt pour guetter si quelqu'un venait perturber son calme, il écoutait le vent et sa guimbarde en pensant simplement. Du calme, les cheveux, l'écharpe aux vents, les pieds se balançant avec innocence dans le vide.

Il y a des moments dans la vie où dans les situations comme celles ci, on ne s'attend à rien et quelque chose arrive, où l'on attend personne et quelqu'un viens rejoindre, le vent est imprévisible et il mène le destin à la baguette, et qu'est-ce que le vent allait décider ici ?

L

e soleil tapait insolemment sur la peau exsangue de la jeune Yoko, elle avait quitté il y a quelque temps le beau pays de Kiri no gakure pour entamer un petit périple pour s’entraîner et, pourquoi pas, faire des rencontres intéressantes. Ses pas la guidèrent jusqu’ici : à Suna no gakure, ses vastes contrées où régnait une chaleur étouffante et quasi omniprésente la journée et qui chutait dangereusement la nuit. La pauvre brunette n’avait pas du tout l’habitude de ce climat si chaud, les journées à Kiri étaient tout le contraire, elles, étaient plutôt humides et fraîches en cette période.

L

a kunoichi était en sueur et sa peau tirait maintenant au rouge :

*Rahhh si ça continue je vais encore avoir un coup de soleil ! *

Pensa-t-elle tout en buvant cul-sec le peu d’eau que contenait sa gourde.

En temps que ninja, elle devait savoir gérer toutes les situations et c’était dans cette optique qu’elle avait décider de jouer les globe trotter pendant un temps mais, aujourd’hui elle avait découvert que le désert n’était pas du tout son terrain de prédilection et que dans les missions avenirs elle l’éviterai au maximum… Elle déambulait depuis des heures et ça, ses pieds meurtris lui avaient bien fait comprendre. Yoko décida alors de trouver une oasis ou tout du moins un endroit qui puisse être doté d’ombre et qui soit frais. C’était son impératif car bientôt on pourrait cuire un œuf sur sa tête.

Elle avançait tel un automate, les pieds se balançant en un rythme très régulier et le regard scrutant le lointain, près à régir au moindre signe de vie. Mais tout ce qu’elle vit c’est du sable et une espèce de renard creusant dans le sable pour y trouver de la nourriture, enfin sûrement.

Fatiguée de cette lente agonie qu’était cette marche, la jeune fille balaya, de son pied, le sable qui, porté par le vent ~~–de la vengeance- x'D~~, vinrent se loger dans ses yeux noir onyx. Elle pesta tout en essayant vainement de les faire partir. Quelques larmes dégringolèrent sur ses joues à cause de l’irritation. Finalement quand cela lui passa, elle releva ses yeux et c’est la qu’elle aperçut au loin une sorte de ravin. Yoko pris la décision de s’y rendre car de là elle pourrait plus facilement s’orienter. Une fois arrivée là-bas elle vit un jeune homme, dégageant une certaine aura qui poussait au respect. Il était assis dangereusement sur le bord de la falaise. C’était une aubaine pour elle, la kunoichi de Kiri avait besoin d’indications, elle l’interpella donc :

« Heuu… bonjour ! tu pourrais m’indiquer le chemin pour que je puisse me rendre au village le plus proche ? »

M

ais avant qu’il puisse formuler sa réponse elle dit :

« Suis-je bête ! J’ai omis de me présenter ! Je m’appelle Yoko, enchantée. Et toi comment t’appelles-tu ? »

Y

oko avait toujours l’habitude de tutoyer tout le monde plus vieux ou pas qu’elle.

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Sorry pour le retard ^^'

Une longue réfléxion s'était installée dans l'esprit de Nepenthes, à propos de tous les récents évènements... la guerre, des morts, est-ce que ça en valait la peine. Qui serait-il pour dire oui ou non ? L'avenir le dirait mais le kage aurait préféré évité cet inévitable là, certes ça ferais un entrainement de taille, d'accord au bout de cette guerre il y aurait à nouveau la paix, mais bordel, ça fait 200 ans que le monde était en paix, plus personne ne sait ce qu'est la guerre. Vous l'aurez compris l'esprit du kazekage était très tourmenté en ce moment pourtant de tranquillité dans l'ombre secrète du ravin.
Pour venir tirer le shinobi de ses tourments une rencontre arriva, une rencontre à laquelle il ne s'attendait et fut surpris même au point de pratiquement dégainer un kunai, ce qu'il ne fit pas. Non la jeune femme qui venait trouver son chemin auprès du ninja ne se doutait à qui elle avait adresser la parole en ces terres arides, l'esprit le plus tourmenté, le plus calme et le plus étrange a des kilomètres à la ronde. Vous me direz, peut-être même le seul être, elle avait eu de la chance. Aux paroles déstabilisées de la nouvelle venue Nepenthes tourna la tête brusquement, exposant son visage neutre comme à l'habitude, caché à moitié par une écharpe rouge qui continuais derrière lui, assortie à ses yeux rouges profonds, qui laissait plus entendre un démon qu'un kazekage tourmenté par la guerre.

« Bonjour... un chemin dis-tu ? Dans le désert ce n'est pas monnaie courante, mais je pense que je peux bien t'aider à rejoindre mon village. »

Pour la jeune femme cela devait être déstabilisant de voir un homme assis là, paré de différents ossements, avec deux cornes plus ou moins cachées dans des cheveux noirs de jais, et qui répondait comme si il était un spectre de l'autre monde, sans sentiments, sans rien à part... eh bien des paroles. De plus ici le mon était fort à propos. Il se redressa avant de répondre à la nouvelle présentée, Yoko.

« Mon nom est Nepenthes, enchanté également. »

Cette fois il était étonné intérieurement, rares sont ceux qui demande son nom au Kazekage, car généralement lorsque l'on s'aventure dans les terres arides de Suna, on a le nom du Kage en tête, au cas où on le croiserait, et généralement, il n'a pas besoin de se présenté, ni aux Suniens, ni aux envoyés diplomatiques, un petit étonnement donc, mais toujours rien ne figurait sur son visage inexpressif. D'un regard il détaillait Yoko, visiblement elle venait de terres froides, car elle n'avait pas eu la présence d'esprit de se protégé du vent et du soleil, ce qui est obligatoire dans une traversée du désert... lorsque l'on est pas habitué.

« Tu fais une petite mine, tiens, bois, rafraîchi toi. »

Accompagnant les paroles il pris à sa ceinture une gourde d'eau et la tendu à Yoko, il savait faire des bonnes actions, très souvent même, ce qui contrebalançait son inexpressivité et le fait que lui non plus ne vouvoie jamais, il n'a jamais appris le respect de cette manière, et est beaucoup plus habitué à ce qu'on lui en montre qu'à ce qu'il en montre lui même.

Yoko fut plus ou moins surprise quand elle vit l’homme se retourner, sa dégaine était fort étonnante et peu habituelle mais elle devait avouer qu’il s’intégrait bien au décor qu’était ce désert. Mais plus la jeune kunoichi le regardait et plus elle se disait qu’elle le connaissait même avec son allure peu banale elle n’arriva pas à se souvenir de cette personne. Quand il se présenta elle eut un « titlt » Le jeune homme qui se tenait devant elle était le Kazekage. Comment avait-elle pu oublier ce visage si connu dans le monde Shinobi ? Quoiqu’il en soit elle ne portait rien sur elle qui pourrait faire penser qu’elle soit une shinobi de Kiri, donc la guerre diplomatique était à écarter si, par malheur, il lui arrivait de faire un écart dans ses propos ou autre (xD) Après sa présentation elle fut gênée de ne pas l’avoir reconnue sur le coup mais son vis-à-vis ne fit pas allusion à son malaise.

Le Kazekage lui dit aussi qu’il voulait bien la guider jusqu’à son village :

« Est-ce qu’il se trouve loin d’ici ? Car je voudrai juste me reposer une nuit et je n’ai pas envie de faire un long détour seulement pour ça »

En effet, Yoko avait décider de rentrer après cette brève escale à Suna. Elle ne voulait pas trop tarder. Et puis elle aimait se trouver à proximité du village en cas d’attaque, où pour des missions importantes. Le genre de mission où vous n’êtes pas sûre de rentrer en vie et où l’adrénaline coule à flot dans votre sang. Vous devez être tout le temps en alerte. Voilà le genre de mission don elle raffole. Malheureusement (ou pas ) elle n’était pas fréquente. Mais il fallait aussi dire, que la traversée de cette environnement aride lui avait donné le mal du pays. Elle repensa a Kiri et ses chutes d’eau fraîche, ses pluies revigorantes. La brune s’égara un peu dans ses pensées quand le chef de Suna lui tendit une gourde tout en l’invitant à boire. Elle accepta avec un grand sourire car sa gorge était sèche et Yoko avait l’impression de ne pas avoir bu depuis des mois ! Elle fut cependant intimidée, C’est vrai ! il n’y avait pas beaucoup de gens qui avait l’honneur de boire à la même gourde que le Kazekage ! Elle chassa vite ça de son esprit tout en se trouvant bien stupide d’avoir eu cette pensée et bu plusieurs lampée d’eau. C’était bizarre mais il lui semblait que l’eau avait un meilleur goût que quand elle pouvait en avoir à profusion. C’était comme avoir une récompense après l’effort. Elle essuya l’unique goutte qui s’était logé au coin de sa lèvre et dit :

« Merci beaucoup Nepenthes-sama » Elle accompagna sa phrase de remerciement d’un sourire sincère et rendit la gourde à son porpriétaire.

Malgré qu’elle ai découvert son grade si important elle ne pus se résoudre à l’appeler « Kazekage – sama » C’était si impersonnel et froid, même la mizukage était nommée par son prénom. Pour la kirienne c’était tout a fait normal.

Nepenthes ria bien dans sa tête, la jeune femme, à son nom, à son allure relevé commença à lui montrer du respect, par l'appellation sama... tout le monde le connaissait, au fond il le regrettait un peu, il ne pouvait pas faire de rencontre, certes il n'en avait pas tellement envie, mais là, une jolie jeune femme qui lui demandait son chemin, une occasion de faire une rencontre... voir ? Hum non. Évidemment maintenant c'était autre chose, lui était un Kage et elle une shinobi d'un autre village, voire sûrement Kiri ou Kumo, les non habitués à la chaleur... Rêves brisés. Il se ressaisit, perdu dans ses pensées qu'il était, il adressa un sourire à Yoko.

« Dépend du moyen de locomotion que l'on utilise, avec moi ça ne devrais pas prendre trop de temps. »

Il réfléchit un moment pour savoir ce qui allait se passer si il la prenait avec lui, comment prendrait-elle le fait que sans prévenir il l'emporte dans une bourrasque, si il la fait se retrouver dans un palais, ça va encore faire des chichis, des gnagnas du fait qu'il soit Kage. Ah, et son lieu d'atterrissage et le grand balcon, panorama magnifique, mais connexe à sa chambre... ça ferait un peu osé, en sachant la beauté de Yoko... Hum. Puis d'un geste, après avoir replacé sa gourde se colla contre Yoko et une bourrasque les emporta, comme on emporte une statue de sable. Là les deux personnes pouvait admiré, sous la forme de vent les paysages arides du désert et arrivèrent très vite jusqu'au village caché du sable, où ils atterrirent sur le balcon du palais.

« Mademoiselle est servie. »

Yoko remis quelques mèches derrière son oreille, c’était un tic qu’elle avait acquis depuis tout jeune. Elle rendit le sourire que son vis-à-vis lui avait fait mais la phrase qu’il prononça juste après, elle n’en compris pas le sens : que voulait-t-il dire par « avec moi ça ne devrais pas prendre trop de temps » Comptait-t-il la raccompagner ? Elle ne tilta pas sur le coup. Mais comme pour couper court à ses réflexions. Nepenthes rangea sa gourde à sa place, c’est à dire accrochée à sa ceinture et il s’approcha de Yoko jusqu’à la prendre dans ses bras. Surprise, cette dernière poussa un petit cri de stupéfaction. Elle devint encore plus rouge qu’elle l’étais au départ tout ça était du au rapprochement du Kazekage. Elle n’avait pas trop l’habitude d’être aussi proche de quelqu’un. Son cœur commença à battre à la chamade mais elle ne put que bégayer ces quelques mots :

« Qu’est-ce…que t...tu f...fais ? »

Avant qu’elle ne se sente bizarre et qu’elle vit le décor du désert défiler. Bien vite elle se retrouva sur un balcon, un peu déconcertée certes. Elle se sépara rapidement de l’étreinte et tourna le dos pour éviter de lui montrer sa gêne qui était, il fallait le dire clairement, flagrante. Au même moment son esprit était en proie a une intense réflexion :

* Un jutsu de téléportation. C’était uniquement ça et moi Baka que je suis…je m’étais ..imaginé que…que…* Elle se donna une gifle mentale, il fallait qu’elle se reprenne !

La Kunoichi se dirigea vers le balcon pour apercevoir la belle ville qui s’étalait sous les pieds de Yoko elle en oublia presque le désagrément qu'elle avait subit plus tôt, j’ai bien dis presque.Et jugeant qu’elle avait abusé de la gentillesse de Nepenthes elle se dirigea vers la sortie qui se trouvait de l’autre côté de la chambre de celui-ci (hé hé moi je ne vois aucune allusion O=3). Elle la trouva impeccablement rangée, d’ailleurs c’était plutôt normal pour un Kage. Mais avant de prendre la poudre d’escampette elle lui dit :

« C’était très gentil de ta part de m’avoir raccompagné, jusqu’ici. Maintenant je pense que je vais m’en aller trouver une auberge descente où passer la nuit. Au revoir et encore merci. »

Lors de la transformation venteuse, d'abord Nepenthes avait essayé de cacher son propre gêne, puis en voyant celui de la jeune kunoichi il se senti mal à l'aise, elle était rouge vive, très gênée, c'est vrai qu'il n'avait pas été très explicite envers elle, et que ça aurait pu été mal pris. Elle lui tournit le dos, soit pour se cacher soit pour montrer sa frustration, le Kazekage lui, recouvrit la face et le visage du tourmenté, mais cette fois pas sur les mêmes sujets qu'auparavant, il trouvait la kunoichi très... attirante, et ce n'était pas dans ses habitudes d'être comme ça avec une inconnue.

*Quel idiot je fais, j'aurais du la prévenir...*

Au moins, la kunoichi découvrit le paysage vu par le balcon du Kazekage, le plus beau panorama sur sa ville, ses toitures, animées, où on entendait de là les cris des enfants jouant et de leur mère pestant qu'ils devaient rentrer pour prendre la soupe, on voyait au loin sur les terrains vagues les effets des entrainements des ninjas de Suna, puis encore un peu plus loin la vaste étendue de sable. La seule chose que l'on ne voyait pas c'était le palais immense du Kazekage, car l'on était à l'intérieur. Mais même la chambre, carrelée, immense comme une salle de fête, avec quasi rien à l'intérieur à part des portraits des autres Kages, dont l'ancêtre de Nepenthes, Sabaku No Gaara, et lui même en dernier sur la file de tableaux. La forme de dôme de la pièce laissait généralement un écho aux moindres des paroles. Au milieu de la pièce, un lit, impecablement fait et visiblement bien trop grand, fait pour au bammo 6 personnes en longueur et 2 en largeur. Et au fond de la salle, en face du balcon, une paire de porte aux dorures futile mais du à son rang.

La jeune femme e se reretourna et partit en direction de la porte de droite, Nepenthes baissa la tête et soupira, il ne savait généralement rien faire comme il fallait et ça finissait 60% du temps ainsi, n'était-il pas surnommé le démon du sable à l'instar de son ancêtre ? Après les quelques mots de Yoko il courut à sa suite.

« Attends ! Tu peux dormir dans mon palais, ce sera plus confortable, il y a plein de chambre, cela ne me gêne absolument pas, ça me ferait même plaisir d'avoir de la compagnie... »

« Surtout d'une aussi charmante et jolie jeune femme »

Dans une précipitation d'actions d'enchainement et de paroles il ne savait qu'à moitié ce qu'il disait ou faisait : il se sentait mal à l'aise, mais à la fois miraculeusement bien quand il se rapprochait d'elle, son coeur, qu'il ne sentait pas souvent s'activait, une réaction plutôt étrange, un nouement des tripes, et un regard attendri envers cette jeune kunoichi rencontrée à peine et avec qui il voulait passé déjà plus de temps. Enfin, il s'y prenait vraiment mal et avec ce gêne fit une action qu'il regretta juste aussitôt après : il lui déposa un baiser au coin des lèvres. Suite à ça il se demandit juste pourquoi avait-il fait ça, elle allait juste fuir maintenant, et son coeur stopperait de fonctionner comme là, alors qu'il était bien et mal à l'aise. Ses tripes se nouèrent d'un coup d'avantage lui donnant une grande impression de mal au ventre, mais à la fois, il ne pouvait s'empêcher de la regarder et d'éprouver un sentiment de bonheur.

Au travers de l’unique fenêtre de la pièce, les lumières filtraient, illuminant la pièce. C’était une belle journée, aujourd’hui, à Suna. C’était une journée où on sentait que quelque chose d’important allait se déroulait. Au dehors aucun oiseau ne chantait, c’était le calme plat.

Yoko se dirigeait vers la porte, tout en se demandant encore pourquoi elle avait décidé de partir alors qu’elle avait l’irrésistible envie de rester ici plus longtemps. Et quand le Kazekage l'avait retenu elle en fut vraiment contente et on pouvait même dire qu’elle espérait qu’il allait le faire. Quand il lui proposa de séjourner dans son grand palais, elle acquiesça vivement visiblement totalement en accord avec cette idée. Et quand la kunoichi entendit le murmure, elle ne put réprimer un sourire et quelques rougeurs lui colorer les pommettes tout en le remerciant. C'est vrai qui lui arrivait souvent d'être complimenter par la gente masculine mais elle avait l'impression que avec lui ce n'était pas pareil. Ça la touchait. Pendant cette réflexion interne elle ne vit pas son interlocuteur se rapprocher jusqu'au moment ou la brune sentit son souffle sur son visage et que finalement il l'embrassa. Comme si le contact le brûlait il recula rapidement sans rien dire. Yoko vit sa gêne et elle se dit que leur rencontre ne pouvait se terminer par seulement ça. Pris d'un élan de courage (xD), elle se hissa sur la pointe de des pieds avant de l'embrasser. L’instant de bonheur qu’elle a sentit quelques instants plutôt elle l’avait voulu le renouveler pas ce simple geste.

Mais maintenant, la seule chose à laquelle elle pensait c'était ''pourvu que ça dure encore longtemps''. Mais malheureusement, comme on dit, toute les bonnes choses ont une fin et finalement ils se séparèrent sans pour autant Yoko s’éloigne de lui. C’est presque inaudiblement qu’elle formula sa phrase :

« je… je crois que je suis tombée amoureuse… »

» Point De mission Yoko *0*
» Absences de Rin chan T.T
» Yoko Junrei Finis MOUHAHAHA
» Rencontre aussi glaciale que la mort...(PV Kirara chan)