Dante, The New Raikage

Devils Never Cry…Really ?



Présentation Raikage

Nom & Prénom: ??? Dante

Age: Inconnu

Village: Kumo

Descriptions Physiques : Une ombre surgit dans la nuit ♫, c’est…Ah non. Trompé de générique. On reprend. Vous croyez aux démons ? Non ? Alors vous êtes idiot. Laissez moi vous conter l’histoire de Dante. Commençons par vous l’ancrer en tête.
Un visage d’Éphèbe pour son âge avancé. Ses cheveux sont d’un blanc aussi pur que la neige. La coiffure est assez indescriptible, vu qu’il change tout le temps. Même à Kumo, il n’a pas eu de problèmes. Les cheveux blancs sont assez communs dans le monde des mortels. Attaquons nous à son regard. Et quel regard. Bien que ses yeux soient assez petits, ils n’en restent pas moins très expressifs. D’un bleu ciel éclatant à la lumière, dans la pénombre, ils sont sombres et effrayants. Et pourtant, son regard n’est pas nécessairement froid. Généralement de bonne humeur, ces yeux sont emplis d’une joie indescriptible. Cela va même assez bien avec son sourire éclatant. Il le perd rarement, même dans les pires situations. Un sourire ravageur. Je pense que nous en avons finit avec son visage qui attire les convoitises et la confiance.

Son corps jeune est celui d’un gamin d’une vingtaine d’année. Forgé par l’entraînement, et une dépense physique conséquente à son alimentation, ses muscles sont finement dessinés. À nu, il ne serait pas très impressionnant. C’est surtout son accoutrement et ses armes qui effrayent. Un long manteau en cuir rouge sur les épaules parsemé de fermetures éclair et de lanières à sangles. Ce manteau rouge sang est tout de même sombre, même si d’une couleur vive. Dans le dos, une attache est fixée exprès pour son épée légendaire. Ornée d’un crâne, cette lame géante est lourde et porte des coups efficaces. À l’intérieur de ce manteau, plusieurs petits objets. Un livre, quelques couteaux, un stylo, deux parchemins, quelques capsules et ampoules remplies d’un liquide sombre.
Son pantalon est souvent noir et rentré dans ses bottes noires. Il n’a rien de particulier, juste normal. Il est assez rare de voir un Raikage comme lui. Il ne porte jamais de sandales ninja, juste des bottes s’arrêtant à mi tibia.

Quand on le voit en ville, il a souvent une guitare électrique dans le dos. C’est un très bon musicien, et si l’inspiration lui vient, il se mettra directement à jouer, avec cette guitare.

Descriptions Mentales : Le plus grand des héros c’est…Encore trompé de générique.
Dante est une personne très extravagante. Déjà par son style de vêtement, ensuite ses agissements. Il est rarement sérieux, et est une bonne pâte. Il aime rire de tout, même du pire. Il a un sens de la répartie très assassin et très spontané, ce qui lui permet de s’amuser encore plus. Toujours le mot pour rire.
Malgré cela, il sait quand il doit être sérieux. Il fait son travail de Kage. Jusqu’à ce que son impatience prenne le dessus. Il quitte la pièce sans rien dire, par la grande porte, ou demande à un subordonné de l’aider, puis s’en va sans rien dire. Il n’est jamais gêné, et dit toujours ce qu’il pense, et comme il le pense. Le fond est toujours là, la forme, on s’en fout. Bien qu’il n’aie jamais apprécier l’être humain, il le protège au péril de sa vie. Ce village, il l’aime. Ne lui demandez pas pourquoi, il s’en fout.
Il a aussi l’art de détourner la situation ou la conversation. Quand on lui pose une colle, il se met à jouer de la guitare, ou à manger. Malgré le fait qu’il sache manipuler ce qu’il veut, il est assez influençable quand on sait s’y prendre. Non, il ne réagit pas aux flatteries, ne vous y trompez pas. Il suffit de le connaître.

C’est aussi quelqu’un de très ingénieux et intelligent, bien qu’il n’en fasse pas forcément part à tous. Il à l’origine de nombreux changements dans le monde, notamment la ligne ferroviaire à l’échelle mondiale, ou encore dans certains nouveaux mécanismes. Il aime comprendre comment fonctionne quelque chose. C’en devient parfois une obsession.

En combat, ce qui est assez rare car il n’aime pas se mêler aux puérilités des autres, il est d’une efficacité remarquable. Maniant son épée comme personne, il est aussi très bon viseur. Il est aussi plutôt silencieux dans ce genre de situation, tant qu’il évalue son adversaire. Après, plus grand-chose à foutre. Lorsque la situation deviens critique, il ne recule devant rien pour gagner, pas même la fuite si cela est possible. Il est tout de même assez fier, donc il faut être bien loin pour le faire fuir. Non. Et ce n’est pas dans ses habitudes de craindre une blessure. Quelque chose le protège en permanence. N‘essayez pas de l’affaiblir avec des blessures gigantesques. Il ne les sentirait même pas. Il en faut beaucoup pour le tuer, certes, mais ce n’est pas compliqué quand on sait s’y prendre.

Le reste, c’est à vous de le découvrir.

Histoire :
C’est il y a un peu moins d’une centaine d’années, dans le pays des démons. Le pays vivait assez difficilement. Les années de paix dans les autres pays avaient attiré de nombreux criminels dans le pays des exorcistes. Certains cherchaient à construire une guerre, pour des raisons ridicules. Les exorcistes avaient donc du travail. Les criminels savaient qu’il y avait quelque chose à prendre dans c pays. Un démon, un objet mystique ou autre. Peu importe, du moment que cela leur apportait la puissance. Les ninjas étaient envoyé par dizaines dans ce pays pour protéger les habitants n’ayant pas d’habilités particulières au combat.
L’un de ces groupes venait de Kumo. Ils furent chargés de protéger une maison en particulier, où une prêtresse vivait, et était trop malade pour s’enfuir lors des futures attaques. Un juunin de l’équipe prit soin de la prêtresse, et celle-ci tomba amoureuse. Les sentiments n’étaient pas partagés au début. Pour le juunin de Kumo, c’était une simple mission. Mais à force de discuter, ça grandissait. À la fin de sa mission, le ninja refusa de rejoindre Kumo pour le moment. Mais il du s’y résoudre. Fort heureusement, le Raikage de l’époque fut assez compréhensif. Le temps n’était pas à la guerre, et les juunin comme lui pouvaient se permettre des vacances longue durée. Aussitôt, il revint à Oni.
Quelques années passèrent, et leurs cœurs s’unirent dans une cérémonie haute en couleurs et traditions locales. Ils étaient maintenant mariés, et la prêtresse, alors âgée de vingt ans, enceinte après quelques jours. Les mois qui suivirent pour le couple étaient un ravissement de plus en plus fort, chaque jour.
Cependant, quelque chose allait briser leur bonheur. Les réelles intentions des criminels étaient de mettre la main sur les bijuu et de créer une nouvelle guerre ninja. Il fallait à tout prix protéger le monde de ces noirs desseins, et qui d’autre pouvait le faire mieux qu’un pays d’exorcistes ? La prêtresse allait bientôt accoucher, et certains membres de sa famille acceptaient de se sacrifier pour défendre le monde. Les préparatifs en vue de la technique qui serait utilisée étaient terminés. Mais est ce que cela serait suffisant ? L’enfant supporterait-il le monstre ? Et quelles seraient les conséquences ? Manifestement, la décision fut, on verra ça plus tard. Une semaine plus tard, l’enfant naquit, et le rituel commença dès lors. Le père n’avait pas l’air tout à fait convaincu par cette décision, mais il savait que c’était la seule solution, et que sa femme était d’accord. Quelques minutes plus tard, l’enfant avait un démon chat à deux queues dans le ventre. L’homme qui s’était occupé du rituel, et qui normalement aurait dû être l’oncle du petit Dante, mourut avec le sourire aux lèvres, fier d’avoir aider son pays, et le monde dans lequel il a vécu, où sa sœur vit, et où son neveu vivra.


À moi de raconter l’histoire. Ouais, c’est moi, Dante, le Rock-cat ! Bon. Maintenant que vous savez qui je suis, je vais vous raconter comment je le suis devenu. Après ce sacrifice, et après m’avoir enfermé ce monstre dans mon ventre, mes parents ont été encore plus prévoyant que n’importe qui d’autre. Les criminels avaient fui le village avec la contre-attaque de Konoha pour les repousser et les enfermer à vie. La paix était revenue. Mon enfance ? Elle a été plutôt normale, comme celle de n’importe quel autre enfant vivant dans le pays des démons. J’étais bien nourri, je riais beaucoup, je grandissais bien. Mon père était plutôt dur avec moi. Il s’était mit dans la tête de faire de moi un ninja, alors que ma mère, elle, voulait que je sois un cureton. Il leur arrivait souvent de se disputer pour ça. Mais juste après, ils s’embrassaient. Je me souviens d’avoir toujours eu un certain dégoût en les voyant. J’étais jeune et insouciant. Le village dans lequel j’ai grandit était plutôt chouette. Il y avait beaucoup d’enfants avec qui je riais, et avec qui j’allais lancer des pommes de terre sur les carreaux du vieux Sanji. On le prenait pour un vieux fou, avec sa manie de tout laver autour de sa maison, chaque jour, et de nous menacer de nous couper les oreilles si on recommençait. Et on recommençait. On ne se gênait pas. Je n’étais pas encore au courant pour cette affaire de démon en moi. Avec le recul, je comprends pourquoi tout le monde me traitait comme un prince, était sympa avec moi. Quand j’allais à l’épicerie, je recevais toujours des bonbons gratuitement. J’aimais cette vie.

Quand je fus en âge, mon père m’a montré ce que savait faire un ninja. Mon père s’était spécialisé dans les épées, et les techniques de combat au corps à corps. Lorsqu’il m’a donné un exemple, je suis tombé sur le cul. Un truc que j’ai fait et qui a beaucoup fait rire mon père, c’est d’avoir essayé de prendre l’épée. Il me l’a donnée, et à cause du poids, je suis tombé en avant. Ma mère n’était pas au courant de ça. Alors elle aussi m’a entraîné. Elle m’a emmené dans un temple où d’autres enfants apprenaient les techniques d’exorcisme. Il y avait beaucoup de filles. Au début, je m’ennuyais sec avec elles. Elles jouaient aux poupées, ou à d’autres trucs ridicules. J’étais le seul gamin dans l’histoire. C’était d’ailleurs une première depuis plus de deux cents ans. Avec le temps, j’ai appris que c’était indispensable à cause de Nibi.
Après les cours théoriques, la pratique. Ma mère a été vraiment déçue de voir que j’étais nullissime dans cette matière. Je n’étais pas foutu de faire un simple scellement. Même pas de faire apparaître un tableau. Par contre, avec mon père j’étais un as. À huit ans, je savais déjà manipuler mon chakra et utiliser plusieurs techniques de bases. Faut dire aussi qu’avec le monstre, il prenait certaines précautions.

Les années passèrent, et rapidement, avant même que je n’ai pu voir le temps passé, j’avais quinze ans. Pendant sept longues années, je n’ai cessé de me battre contre mon père, de m’entraîner aux techniques qu’il m’enseignait, sans pour autant négliger les séances avec maman. J’y allais pour deux raisons. La première, c’est parce que j’en avais besoin. Depuis le temps, j’ai compris que j’avais Nibi en moi. Mes parents ne m’en n’avaient jamais parlé. C’est une fille avec qui j’avais cour d’exorcisme. Elle n’avait pas beaucoup de jugeotte. Un jour, elle m’a embrassé. Je n’avais pas tout de suite compris pourquoi, alors je lui ai demandé. La bête fille m’a dit que c’est parce que grâce à moi, ses parents sont encore en vie. Encore une fois, je ne comprenais pas. Je lui ai demandé des détails, et après l’avoir embrassé une nouvelle fois, elle m’a dit que j’avais sauver le monde en me sacrifiant, en étant l’hôte de Nibi. Ca ne m’a pas fait plus d’effet que ça. C’était sympa de savoir qu’on est un héro depuis tout petit. Et si ca m’attire les gonzesses, c’est encore mieux. C’est la deuxième raison, du pourquoi j’ai continué l’exorcisme. Les filles étaient vraiment canons !

À force de suivre ces cours, j’ai développé quelque chose. J’ai réussi à faire apparaître une plateforme de lumière. C’était dans la matière « Se défendre face à un démon volant ». C’est le seul truc que j’ai réussi à faire à ce cours. Mais c’était une aptitude comme une autre en la matière. Dès lors, ma mère m’a offert un pendentif, que je devrais garder toute ma vie. Ce pendentif était l’essence des larmes d’un démon. La chose la plus précieuse au monde, car un seul démon a pleurer. D’après nos cours du moins. Cette larme devrait me protéger toute ma vie. Avec ce pendentif, je pouvais contrôler mon démon. J’ai demandé à mon père de m’apprendre à le faire sortir, il m’a dit qu’il n’y avait que moi. Alors j’ai fait un break. J’ai plaqué mes copines, j’ai arrêté les cours d’exorcisme, et j’ai arrêté l’entraînement avec papa. Tout. Tout ça pour me consacrer ç mon entraînement personnel. Il fallait que je sois en phase, en symbiose parfaite avec mon bijuu. Ca a duré près d’un an. Chaque jour, j’essayais de faire sortir le démon d’une manière ou d’une autre. C’est après avoir vidé entièrement mes réserves de chakra, et en étant sur le point de mourir… que Nibi est intervenu à temps. S’ensuivit une longue discussion. Je lui ai présenté mes aptitudes, il m’a présenté les siennes. Il n’était pas très d’accord de partager sa vie avec moi au début. Il était même furieux de vivre dans le corps d’un gamin incapable comme moi. Pourtant, quand il a su que ma mère m’avait donné une larme de démon, il s’est tout de suite tu, et a accepté d’être en osmose avec moi. Du moins qu’il me rendrait la tâche plus simple. Je ne sais, aujourd’hui encore, pas le pouvoir que détient cette larme.

À mon réveil, j’étais dans mon lit. Ma mère était à mon chevet, ainsi que d’autres filles du cours d’exorcisme. Je me souviens de m’être levé directement, et d’être retourné voir mon père. J’étais fier de lui dire que j’avais réussi à le mater. Ma mère était derrière. Elle en était fière aussi. Mais seulement pour moi. Ca a bardé pour mon père ce soir là. En partant voir un film chez une amie, ils se sont direct engueulé, sitôt que j’ai passé la porte. Et en rentrant, vers deux heures du matin, ils gueulaient toujours. Ca a continué pas mal de temps, jusqu’à ce que le village se fasse une nouvelle fois attaquer. Les disputes conjugales allaient cesser pour toujours, parce que mon père est mort ce jour là. Des ninja, avec des bandeaux de Suna étaient apparus à l’aube et ont massacré le village. Il devait y avoir au mieux une vingtaine d’individus. Mon père et moi les avons combattus. On était les seuls ninja du village. Lorsqu’il est mort, j’ai laissé sortir Nibi, et je les ai tués. Les techniques que j’ai utilisées étaient horribles, mais vraiment dingues. Mon père est revenu à la vie. Ou du moins son corps. Ca m’a rendu dingue de savoir que je pouvais faire ça. Je sais que mon père est mort pour me protéger, pour protéger Nibi, pour protéger ma mère, et pour protéger le village. Je n’ai pas versé une larme à son enterrement. Avec ma mère, on a pris la décision de déménager à Kumo. Je voyais bien qu’elle allait trop mal, et moi je voulais avoir le même enseignement que mon père.


Kumo. C’est une ville si grande. C’était vraiment différent de notre ancienne vie. Mais on s’y est habitué assez vite. Moi je me suis directement inscrit dans les registres des ninjas du village. Je n’ai pas du passé par les portes de l’académie au vu de mes capacités. Et Nibi m’a un peu aidé. Faut dire qu’une arme comme moi, ca ne s’entraîne pas conventionnellement. J’ai intégré une équipe. Avec, j’ai appris le principe de mission, et j’ai découvert le monde.
Quelques années plus tard, je me suis mis en ménage avec une fille que j’ai rencontrée sur place. Ma mère était vraiment heureuse. J’ai sans doute passé les meilleures années de ma vie avec elle. J’ai continué à progresser, à dominer Nekomata, à grandir…Pas à vieillir. C’est une des contraintes de Nibi. Son puissant chakra me régénère sans cesse. Je ne vieillis pas. Et j’ai l’impression que la larme de démon y est aussi pour quelque chose. Ma mère est décédée dans son lit, une dizaine d’années plus tard. La vieillesse. Je devais avoir environ 36 ans. Peut être un peu plus. J’ai arrêté de compter à force. Plus tard, j’ai du renoncer à continuer à vivre avec ma femme. On m’a proposé un poste dans une équipe d’élite de Kumo. Mes missions devenaient de plus en plus dangereuse, et je devais conserver un certain anonymat.

Pour ce qui est du reste, je ne me souviens plus tellement. Les années passent, les journées sont monotones. Ma femme est morte quelques années avant que je ne sois Kage. C’est assez étrange, mais les morts ne m’affectent pas. D’un coté, je sais que moi j’ai encore pas mal d’années devant moi. Une chose ou deux que j’ai fait, c’est instaurer cette ligne ferroviaire dans les villages principaux. J’ai aussi imaginé les plans des dirigeables pour Kumo. Je ne m’en attribue pas le mérite. Cela reviens aux ingénieurs. Depuis quelques années, je joue de la guitare électrique. J’trouve ça cool. J’ai vu le temps passé sur ces années. J’ai vu les choses bouger. Le train, la musique, la télévision…La guerre. Je prends mon travail de Raikage très à cœur, même si je ne le fais pas personnellement.

Test RP: